• Wolu1200 : Le patrimoine de notre commune à travers deux livresL'un s'intéresse particulièrement au petit patrimoine visible de la rue, l'autre Wolu1200 : Le patrimoine de notre commune à travers deux livress'invite à l'intérieur des maisons. 

    Ces deux livres sont une suite voulue de longue date pour mettre en lumière et en couleur une série d'articles parus dans le bulletin d'information de Wolu-Inter-Quartiers. Ils ont en commun l'amour du patrimoine et de la photographie de son auteur Geneviève Vermoelen.

    Après la lecture de ces livres, vous regarderez d'un autre oeil de nombreuses maisons de la commune et vous participerez certainement à la préservation de ces éléments qui contribuent à la qualité de nos façades et de nos intérieurs.

    Disponibles à partir du 7 septembre 2015

    Plus de détails sur  www.wiq.be

     

    Pour commander ces livres : Geneviève Vermoelen : genevieve.juin@hotmail.com 

    ou  woluinterquartiers@hotmail.com


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    Ce petit chat a été trouvé dans la rue et se fait cajoler actuellement chez une dame qui l'héberge provisoirement. Le problème est que la dame en question a un chien d'un certain âge qui ne s'entend pas du tout avec le nouveau venu. Cette dame n'a pas beaucoup de solutions. Elle devra se séparer du petit chat soit en le déposant dans un refuge soit, et ce serait bien préférable, en lui trouvant une famille qui puisse l'accueillir définitivement.

     

    Wolu1200 : Ce petit chat recherche une famille aimante

    Mâle castré - Age indéfini (petit taille ) - Encore assez maigre (affamé) - Blanc/tigré  - Très affectueux (ronronne toute la journée) - Bon caractère - Propre  - A été aperçu il y a 6 semaines Avenue de la Nielle  - Pas de puce électronique, ni tatouage  - Visite chez le vétérinaire effectuée - Merci de votre aide.
    Voici mon numéro de GSM :0468/15.44.61 Constance 

    Wolu1200 : Ce petit chat recherche de toute urgence une famille aimante

     

    Grâce à vos nombreux partages, ce petit chat qui s'appelle Mimi a retrouvé sa famille. Un grand merci pour votre solidarité sur tous réseaux sociaux confondus.

    Mimi se prépare à retourner à la maison

     

     

     

     

     

     

     


     

     

     Wolu1200 : Ce petit chat recherche de toute urgence une famille aimante

    Eux aussi recherchent des maîtres aimants et attentionnés

    Cliquez sur le lien ci-dessous

    https://www.facebook.com/stephanie.challe/media_set?set=a.10153644281017249.1073741943.597882248&type=3&__mref=message_bubble

     


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  • Ecole : le boom des projets alternatifs

    Un mouvement hétérogène - des hypercathos aux tenants de la pédagogie Steiner, en passant par l'école autogérée - et encore minoritaire, mais qui s'agrandit : l'éducation innove et renouvelle les pratiques pédagogiques. Sur le terrain, des expériences passionnantes se multiplient, à l'échelle d'une classe, d'un établissement, ou même d'une ville. Qu'ils relèvent de la Fédération Wallonie-Bruxelles ou non, qu'ils soient gratuits ou payants, ces enseignements ont chacun un projet particulier : écologique, comme au collège Robert Schuman, à Eupen; ou linguistique, comme dans le réseau d'écoles bilingues Montessori ou à l'école bilingue français-latin Schola Nova, à Incourt.

    "Il me semble que l'on ne peut plus faire autrement aujourd'hui, tellement les classes, les niveaux et les environnements culturels sont hétérogènes", estime Marylène Mathias, directrice à l'Institut d'enseignement des arts techniques et de l'artisanat (Iata), à Namur. L'établissement secondaire a ouvert, il y a deux ans, une "filière" d'inspiration Steiner- Waldorf, où on développe à la fois les facultés intellectuelles, artistiques et manuelles. "Les élèves ont des profils d'apprentissage différents", insiste Marylène Mathias. Derrière sa réflexion pointe un constat, récurrent : pour transmettre et évaluer des savoirs, l'école s'appuie sur deux intelligences, "logico-mathématique" et "verbale-linguistique" et passe à côté d'autres. Le point de vue est également partagé par l'équipe du collège Da Vinci, à Perwez. Le tout jeune établissement enseigne sur la base théorique des intelligences multiples. L'idée consiste à rendre le savoir accessible aux élèves selon leurs atouts, en stimulant les différents circuits cognitifs : par exemple, le latin à l'aide de chansons, de récits, de bandes dessinées ou le français grâce à des cartes mentales, sortes de graphiques arborescents utilisés dans le management, de vidéos, de jeux...

    Deux exemples parmi d'autres, qui séduisent les parents, de plus en plus nombreux à souhaiter un paysage éducatif plus varié.

    C'est dès la maternelle que des modèles atypiques tentent de capter leurs demandes. Ces écoles se bâtissent sur les lacunes du système scolaire. Ainsi il n'existe aucune école bilingue à Bruxelles. L'école Pistache, située à Schaerbeek, propose un enseignement en français et en néerlandais, dispensé alternativement par une institutrice francophone et une institutrice néerlandophone. L'établissement, qui ouvrira dès la rentrée un niveau primaire, veut répondre à une demande parentale de plus en plus importante : le bilinguisme dès la maternelle. Il va plus loin que l'immersion, puisque "l'école n'est ni francophone ni néerlandophone, l'enseignement est complètement bilingue : 50 % en français, 50 % en néerlandais". Coût : 360 euros mensuels, auxquels il faut ajouter 250 euros de frais d'inscription. Pour l'instant, l'école accueille une dizaine d'enfants.


    Wolu1200 : Ecole d'immersion en anglais pour 800 euros... par mois D'autres établissements proposent une immersion totale en anglais, à l'exemple de l'école Victoria, à Woluwe-Saint-Lambert. A partir de la rentrée, dès l'âge de 3 ans, les élèves s'immergeront dans l'anglais, avec des institutrices britanniques. La scolarité coûte de 700 à 865 euros le mois, plus les frais d'inscription de 350 euros.

    Mais le plus gros atout de ces écoles est qu'elles affirment assurer un suivi personnalisé de l'enfant grâce à des petites classes. A The Little Academy, école maternelle privée au coeur de Mons, pas plus de 14 écoliers par classe. "Ce serait impossible d'avoir un si petit nombre d'élèves dans le public. C'est la seule vraie plus-value par rapport aux écoles "traditionnelles", estime le professeur de l'UMons, Marc Demeuse. Les contributions des familles s'élèvent à 290 euros mensuels.

    Les parents plébiscitent également les pédagogies différentes. Inspirées de Maria Montessori, Célestin Freinet ou Rudolf Steiner, elles ont le vent en poupe. Un engouement dont ne peut que se féliciter Amandine Tuerlinckx, directrice de l'école secondaire Freinet, De l'Autre Côté de l'Ecole, à Auderghem. "L'école n'est pas simplement un lieu où l'on dépose ses enfants. Il doit être vivant." Si chacune de ces démarches a ses spécificités, elles partagent toutes des points communs forts : l'enfant est mis au centre du projet. Tous ces établissements font autrement l'école, mais chacun à sa manière. Ainsi plutôt que de noter l'élève, on lui apprend à évaluer son travail. De même l'élève avance à son rythme, décide des apprentissages sur lesquels il veut mettre l'accent. Ses rapports avec les adultes sont individualisés. Enfin, quelques projets attirent des parents à la recherche d'un encadrement philosophique ou spirituel différent. Il s'agit par exemple d'écoles évangéliques ou musulmanes.

    Ces établissements représentent sans aucun doute un capital d'expériences, dont d'autres pourraient s'inspirer.

    Source : http://www.levif.be/actualite/belgique/ecole-le-boom-des-projets-alternatifs/article-normal-413145.html


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  • Wolu1200 : Pourquoi de tels écarts de prix d'une pompe à l'autre?Après une nouvelle baisse, le diesel atteint son niveau le plus bas depuis cinq ans (1,148 euro/litre). Si certaines stations services sont passées en dessous de la barre symbolique de l'euro, d’autres restent au-dessus, affichant le prix plafond. Des fluctuations importantes liées aux différentes stratégies commerciales des pétroliers. 

    Une station service de Wezembeek-Oppem en périphérie bruxelloise est aujourd'hui l'une des plus avantageuses de Belgique. Elle vend son diesel à 0,988 euro/litre. Mais un clic suffit pour constater que toutes les pompes ne sont pas aussi concurrentielles. A quelques minutes de là, à Woluwe Saint-Lambert, une pompe à essence concurrente affiche, elle, le prix maximum de 1,148 euro/litre. Une différence de 16 eurocents qui est plus que significative. Sur un plein de 50 litres, elle représente 8 euros de différence. Mais pourquoi ces écarts de tarifs d’une pompe à l’autre?

    En Belgique, c'est une particularité, des prix maximums sont fixés pour les carburants. Ils sont donc aujourd'hui de 1,148 euro pour le diesel et de 1,412 euro pour l’essence. En détails, ce montant comprend le prix du produit, les accises, la tva, les cotisations Bofas et Apetra et, enfin, les coûts de distribution.

    C’est sur ces derniers que les pompes peuvent décider de rogner leur marge à condition de ne pas vendre à perte. Une stratégie commerciale sur laquelle mise en autre le groupe Lukoil. "C'est notre stratégie, on essaye d'être meilleur marché dans l'objectif d'attirer plus de clients. Il y a des régions où il y a de petites guerres de prix avec des concurrents qui font plus de ristournes que d'autres. On suit toujours les concurrents pour proposer la meilleure offre" explique Xavier Corluy, manager pour le Benelux.

    Chacun sa stratégie

    Mais toutes les pompes ne sont pas aussi concurrentielles. Certaines se basent sur d'autres critères commerciaux pour fixer leurs tarifs comme l'offre de services complémentaires, un cahier de charge plus élevé ou encore l'absence de concurrence. Sur les autoroutes, par exemple, les prix des carburants sont presque toujours maximum.

    Devant ces différences de prix, mieux vaut donc se renseigner. Des comparateurs de tarifs comme le site carbu.be permettent aujourd'hui de faire des économies.

    "Le prix va dépendre d'abord du positionnement de l'enseigne" analyse Stéphane Hougardy, l'un des responsables du site carbu.be. "Certaines stations s'axent sur le service, d'autres - de type stations automatiques - jouent sur les volumes de vente. Le prix varie aussi en fonction de la concurrence aux alentours de la station et donc le prix peut-être différent au sein d'une même enseigne". Autre critère la localisation de la pompe à essence, si "vous vous trouvez sur l'autoroute ou en pleine ville ou en rase campagne, vous aurez des prix différents. Les meilleurs prix se trouvent aux abords des grandes villes, sur les axes les plus fréquentés. Là où il y a une forte concurrence entre les stations".

    Source : www.rtbf.be


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  • Alors qu’Alain (prénom d’emprunt) était en train de dîner avec sa fille, ils entendent le bébé de cette dernière pleurer. C’est en allant voir sa fille qu’elle tombe nez à nez avec le voleur, dans leur appartement, ce mardi, rue Abbé de l’Épée, à Woluwe-Saint-Lambert. Le voleur, quant à lui, a pris la fuite.

    Wolu1200 : Alors qu'il mange avec sa fille, il se retrouve nez à nez avec… un voleur dans son appartementUne mésaventure peu plaisante, c’est comme ça qu’Alain, prénom d’emprunt, résume ce qu’il lui est arrivé, ce mardi 25 août, dans son appartement de la rue Abbé de l’Épée, à Woluwe-Saint-Lambert. Vers 11h30, alors qu’il mangeait avec sa fille, un homme du voyage, âgé d’une vingtaine d’années, force la serrure. «  Selon la police, il aurait utilisé un support à la fois dur et souple, comme une radiographie, pour rentrer dans la maison », explique Alain. Le malfrat, quant à lui, a continué son exploration, à l’intérieur de la maison et s’est mis à gravir les escaliers, alors qu’Alain et sa fille étaient au premier étage. «  Nous avons trois sonnettes, alors ma femme a rajouté son nom sur la dernière. Le voleur a sans doute cru qu’il y avait une femme qui résidait seule en haut. Il a probablement pensé que cela serait plus facile pour la dépouiller  », réplique-t-il. Le voleur continue son ascension vers le dernier étage. Il fouille quelques tiroirs mais ne semble pas trouver ce qu'il cherche, ce qui le pousse à redescendre d'un étage. Il ouvre alors la porte d'une chambre, il décide d'allumer, ce qui réveille instantanément le bébé qui y dormait. Les pleurs du bébé alertent la fille d’Alain, qui décide de quitter la table et d’aller voir ce qui fait pleurer son enfant. Alors qu’elle se dirige vers l’escalier, elle tombe nez à nez avec le cambrioleur. «  Il m’a regardé dans les yeux et m’a dit bonjour, comme si je le connaissais et qu’il n’avait rien à se reprocher. J’ai crié et j’ai dit à mon père qu’il y avait quelqu’un dans la maison  », explique-t-elle. Le cambrioleur a pris la fuite en passant par la porte d'entrée qu'il avait laissée ouverte. Alain n'a pu le rattraper. "Il faut que les gens fassent attention et surveillent le voisinage. La police m'a dit qu'il y avait 50 vols par semaine commis par des gens du voyage. Soyez vigilants".

    Source : Sébastien Porcu http://www.lacapitale.be/1362247/article/2015-08-26/woluwe-saint-lambert-alors-qu-il-mange-avec-sa-fille-il-se-retrouve-nez-a-nez-av

     


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  • Depuis sa création, CatRescue a déjà trouvé un foyer pour plus de 2000 chats errants. La politique de l’asbl : sauver les chats les plus amochés, malades ou malheureux. Une entreprise tantôt dangereuse, souvent douloureuse pour les volontaires qui luttent contre l’augmentation du nombre d’abandons.

    « Beaucoup s’en occuper, beaucoup de soins, beaucoup d’amour et surtout, donnez-nous des nouvelles ». Avant de s’en aller avec la petite Leila dans sa cage, Charlotte reçoit quelques derniers conseils de la part d’une bénévole. Car chez CatRescue, une adoption ne s’arrête pas le jour de la signature du contrat : « une fois que le chat rentre dans le circuit il est protégé par le refuge jusqu’à la fin de sa vie. Les adoptants s’engagent à en prendre soin jusqu’au bout et s’ils veulent se débarrasser de l’animal, ils doivent nous prévenir. En plus, nous avons créé un groupe des anciens sur lequel nous échangeons des nouvelles, des photos et des vidéos » explique France Evrard, la directrice du refuge.

    « Les chats sauvages sont de véritables tigres »

    Depuis 4 ans chez CatRescue, France et son armée de bénévoles, vont sauver de la rue les chats les plus miséreux qui ont été abandonnés ou qui se sont perdus : « nous n’acceptons pas les chats de particuliers qui voudraient s’en débarrasser. Notre politique, c’est d’aller chercher à la force du poignet les chats les plus amochés qui trainent dans la rue» explique France. Les plus sociables sont faciles à attraper. Mais gare aux chats sauvages, ce sont de véritables tigres : «  nous utilisons des trappes ou des filets pour attraper les chats sauvages car ils peuvent vous arracher les yeux. Une de nos bénévoles a du être hospitalisée pendant 10 jours à cause d’une infection. Il faut être très prudent » ajoute la directrice.

    Les bénévoles ont le cœur et les tripes bien accrochés

    Ensuite, c’est une longue période de revalidation qui commence. Puces, éventrations, morsures de chiens, il faut avoir le cœur et les tripes bien accrochés pour s’occuper de ces petites bêtes : « vous devriez voir comment les chats se transforment. Ils ne ressemblent à rien et puis deviennent des bêtes magnifiques » explique France. Les chats qui en ont besoin, sont soignés au refuge. Les autres sont placés dans des familles d’accueil comme celle d’Elise avant d’être adoptés: «  j’ai 5 chats chez moi pour le moment. Ma spécialité ce sont les craintifs à sociabiliser » explique la jeune femme. En fonction de l’espace qu’ils ont chez eux, de leur temps disponible ou de leurs affinités, les familles d’accueil choisissent de s’occuper de tel ou tel animal : «  certaines personnes font du biberonage par exemple, mais ça demande du temps car il faut nourrir le chaton toutes les 3 heures » ajoute la bénévole.

    On n'adopte pas à la légère

    Contrat, évaluation du profil des adoptants et règles de sécurité... les règles de l’asbl sont strictes et il n’est pas question d’adopter sans réfléchir : «  le plus difficile c’est de devoir dire non à une dame de 65 ans qui désire adopter un chaton ou à un couple qui habite un dernier étage sans accès à l’extérieur alors que le chat est habitué à gambader dans un jardin. Mais c’est comme ça, nous ne sortons pas les chats de la misère pour les y remettre, c’est une question de respect » explique France. Le prix d’une adoption oscille entre 115 et 200 euros en fonction de l’âge, de la race et du nombre de vaccins reçus. Pour l’asbl qui fonctionne uniquement grâce aux adoptions et aux dons, c’est un minimum : «  nous ne recevons aucun subside. Le prix que nous demandons couvre les frais de soins et nous permet de nous occuper des chats les plus malades dont personne ne voudra » ajoute France.

    L’euthanasie c’est acte d'amour

    « J’ai craqué sur Leila à cause de ses couleurs et parce qu’elle est très bavarde, je pense que je ne vais pas m’ennuyer avec elle » avoue Charlotte, une adoptante qui désirait offrir un nouveau compagnon au petit chat qu’elle avait déjà chez elle. Leila a eu de la chance. Elle est encore jeune et en bonne santé, ce qui lui a permis de trouver rapidement une maitresse. Mais les chats trop mal en point ou asociaux, resteront au centre ou devront être euthanasiés : « l’euthanasie est un acte d’amour quand l’animal souffre. Nous ne tuons jamais les chats pour des raisons de convenance » explique la directrice.

    « J’ai du me battre avec mes voisins »

     Il ne faut pas espérer pour entreprendre, ni réussir pour persévérer, il faut avancer…Pour France, zoologiste de formation, CatRescue, c’est plus qu’un métier, c’est un sacerdoce. Elle s’est battue bec et ongles pour monter son asbl et dans les moments de découragements, un simple regard échangé avec un félin lui redonne la pèche : « il y a un tas de contraintes financières, administratives et sanitaires à remplir pour ouvrir un refuge et j’ai du me battre avec certains de mes voisins qui n’aiment pas les chats.  Mais j’y suis arrivée. Il faut avoir le cœur bien accroché, mais  en sauvant 1000 chats par an, j’ai donné un sens à ma vie ».

    Chaque année, des centaines de chats se perdent ou sont abandonnés dans la rue par des propriétaires négligents. Pour l’instant, CatRescue s’occupe de 400 d’entre eux. Mais leur nombre ne cesse d’augmenter et le téléphone de la chatterie sonne 50 fois par jour. Si elle possédait une baguette magique, France les sauverait tous mais en attendant, elle devra se contenter de répéter inlassablement ce message « les chats ne sont pas des jouets, soyez responsables » !

    + le site internet de la chatterie, l'adresse email:  info@catrescue.be                     

    Source et photos :

    • Céline JACQMIN

     http://www.lavenir.net/cnt/DMF20150817_00688689?_section=62418920&utm_source=lavenir&utm_medium=newsletter&utm_campaign=regio&M_BT=52724303895


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  • C’est avec amusement que Katherine, 27 ans, et son groupe d’amis ont partagé un beau moment de vie avec Géraldine, 67 ans. Alors qu’ils étaient attablés en terrasse, ce lundi 10 juillet, en fin d’après-midi, ils ont fait la connaissance d’une nouvelle amie.

    Wolu1200 : Géraldine, une mamie fugue de l'hôpital Saint-Luc«Nous étions au Traminot à Woluwe-Saint-Lambert, non loin de la station Alma, quand tout d’un coup, une femme a débarqué en me demandant si elle pouvait utiliser mon téléphone pour passer un coup de fil», explique Katherine. «J’ai bien entendu accepté et pour me remercier, elle a été nous chercher des bières. Elle s’est ensuite assise avec nous et on a commencé à discuter».

    Pendant qu’ils conversaient, Katherine repère que Géraldine possède un bracelet de l’hôpital Saint-Luc. «Je lui ai demandé comment cela se faisait et elle nous a avoué avoir fugué car elle voulait un peu de temps libre», se remémore la jeune femme.

    «Elle nous a raconté sa vie et c’était assez touchant. Elle en avait marre d’être enfermée alors elle a quitté l’hôpital pour aller s’acheter du parfum et venir boire un verre. J’ai trouvé ça dingue, mais en même temps je la comprends. Cela doit faire du bien de voir d’autres personnes et de sortir un peu».

    Géraldine ne comptait pas pour autant disparaître, elle avait prévu de rentrer à l’hôpital peu après. «Quand on est partis, elle se commandait un gin tonic, le retour n’a pas dû être facile», plaisante Katherine.

    Source : http://www.lacapitale.be/1353804/article/2015-08-14/woluwe-saint-lambert-geraldine-une-mamie-fugue-de-l-hopital-saint-luc


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  • Le rêve absolu que cette Jaguar Type E (1961) dont la consommation moyenne était de... 15 L/100 Km !

    J'aurais plutôt espéré voir notre Ministre de la mobilité se "fourvoyer" devant les médias dans un véhicule de type électrique ou à consommation économique, ce qui aurait été un bel exemple à suivre pour les citoyens que nous sommes.                   Quant à cette photo polémique, qui enfle déjà sur les réseaux sociaux, je l'aurais gardée dans l'intimité de mon album privé si j'avais été à la place de Jacqueline Galant qui nous a habitués à tant de bévues qu'une de plus ou de moins n'y changera plus rien !

    Quand Jacqueline Galant vrombit de plaisir !!!µ

    Mieux vaut le vrombissement étourdissant d'une jaguar que le bruit assourdissant d'un avion au-dessus de nos maisons, n'est-ce pas Madame Jacqueline Galant, notre très chère Ministre de la mobilité qui, je n'en doute pas, se soucie de la santé des Bruxellois sans cesse survolés par ces oiseaux de malheur qui pourraient nous apporter tellement de bonheur s'ils survolaient les forêts et les champs environnants.

    Quand Jacqueline Galant vrombit de plaisir !!!

     

    La santé commerciale de l'aéroport "Brussels National Zaventem" ne doit pas se faire au détriment de la santé physique des habitants de notre commune ou de communes voisines.


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  • Wolu1200 : Première mondiale aux Cliniques universitaires Saint-LucL'équipe des professeurs Boon et Vikkula ont mis au point un traitement médicamenteux révolutionnaire pour les maladies vasculaires génétiques.

    C'est une avancée inédite et d'importance mondiale. Le nouveau traitement médicamenteux réalisé aux Cliniques Universitaires St-Luc, à Woluwe-Saint-Lambert, devrait changer la vie de milliers de patients en Belgique et à terme, de plusieurs millions de malades dans le monde entier.

    Cette thérapie médicamenteuse est le fruit d'une vingtaine d'années de recherches; des recherches effectuées par les équipes du Professeur Laurence Boon, du Centre des malformations vasculaires (Cliniques Universitaires Saint-Luc) et par celles du professeur Miikka Vikkula, du laboratoire de génétique moléculaire humaine de l'Institut de Duve (UCL).

    Une maladie qui touche quelque 6000 Belges 

    Génétique, mais pas nécessairement héréditaire, la malformation vasculaire est un type d'angiome (malformation affectant le système vasculaire) qui touche environ une personne sur 2000.

    On estime que 6000 personnes en souffrent en Belgique; plusieurs millions dans le monde. Jusqu'il y a peu, cette maladie chronique était rarement guérissable. "J'ai tout essayé pendant des années", explique Albert Graindorge (56 ans).

    "Pommades, opérations, sclérothérapie, aucun traitement ne s'est avéré réellement efficace. Certaines interventions ont même eu des conséquences néfastes. J'ai souffert de cette maladie depuis ma tendre enfance. Les symptômes sont importants: douleurs, faiblesses musculaires, saignements, boursouflures esthétiquement très laides,... cette maladie était très invalidante. Je souffrais surtout au niveau de la cuisse et de la fesse. A tel point que je ne pouvais presque plus me déplacer par moments."

    "Il y a environ deux ans, l'équipe du Professeur Boon m'a proposé d'essayer le nouveau traitement.En quelques semaines, les résultats ont été impressionnants. Après quelques effets secondaires supportables, tous les symptômes ont disparu. Ce médicament a vraiment changé ma vie. Et cette molécule est remboursée par la sécurité sociale; elle ne me coûte pratiquement rien".

    La maladie n'épargne pas les enfants

    Principalement due à une mutation génétique, la malformation vasculaire touche aussi les enfants. Les symptômes se manifestent très tôt. Zoé (11 ans aujourd'hui) en a souffert dès sa tendre enfance. "J'avais des pertes de lymphe; ma jambe était dure; c'était douloureux. J'avais aussi des boursouflures sur la peau. Un jour, on m'a proposé le traitement de Saint-Luc. Cela a vraiment changé ma vie".

    Un soulagement aussi pour la famille de Zoé. Pour la maman, Anne-Marie, ce nouveau traitement est vraiment efficace. "L'anomalie lymphatique de ma fille est bien traitée; et il n'y a pas d'effets secondaires. La durée du traitement est encore inconnue. Mais il n'y a en tout cas pas d'effets secondaires".  

    Une molécule connue, une indication découverte

    "La molécule utilisée pour le nouveau traitement est connue depuis des années", explique le professeur Boon. "Elle est utilisée pour d'autres indications et est donc disponible pour les patients. Les recherches effectuées par le Professeur Vikkula ont montré que cette molécule s'avérait aussi efficace dans le traitement des malformations vasculaires. C'était donc une nouvelle indication qui ouvrait des perspectives énormes".

    Des recherches longues, mais fructueuses

    Après des années de recherche scientifique pour trouver un remède efficace, l'UCL développe un important programme de recherche spécifique.

    En 2009, il permet d'identifier le gène responsable de la maladie. En collaboration avec des chercheurs d'Harvard, l'équipe de l'UCL crée pour la première fois un modèle de la pathologie en implantant chez la souris des cellules humaines contenant le gène étudié.

    L'expérience est probante. La rapamycine, la molécule miracle, est testée pour évaluer son efficacité potentielle chez la souris, puis chez l'homme.

    Après un mois de traitement, les chercheurs bruxellois constatent un arrêt de croissance des lésions. Un espoir immense voit le jour.

    Etude clinique concluante

    Les patients qui ont testé le médicament ont vu leur vie changer du tout au tout. Leur qualité de vie a été transformée.

    La douleur a rapidement diminué. Les saignements journaliers se sont arrêtés. La taille des lésions a diminué.

    Aujourd'hui, les chercheurs ont déjà élargi le spectre des indications vers d'autres types de malformations vasculaires.

    Une vingtaine de patients ont ainsi pu bénéficier du nouveau traitement avec, ici aussi, des résultats impressionnants.

    Avec un peu plus de 2 ans de recul, le traitement mis au point à Bruxelles semble aussi prouver son efficacité dans le temps. Il a d'ailleurs déjà été récompensé par le prestigieux Prix du Fonds InBev-Baillet Latour. Il fera l'objet de publications scientifiques renommées.

    Les patients qui souhaitent s'informer davantage trouveront de précieux renseignements sur le portail vascapa.org.  

    Source : http://www.rtbf.be/

     

     


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  • Sa fille Françoise m'apprend le décès de son papa parti au-delà des nuages ce jeudi.

    J'avais consacré, en mars 2014, un article à son papa, Richard Brigode, qui vivait depuis 1936 dans notre belle commune. Ses souvenirs qu'il relate en partie sur mon blog, rappelleront peut-être d'autres souvenirs à des anciens de notre commune.

    So long Monsieur Brigode


    Mémoires de guerre d'un Woluwéen

     

    Wolu1200 : Hommage posthume à Richard Brigode

    http://woluwe-saint-lambert.eklablog.com/memoires-de-guerre-d-un-woluween-a107331322


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  • Wolu1200 : Notre commune à l'époque où Bruxelles brusselait

     Vallée de la Woluwe

     

    Wolu1200 : Notre commune à l'époque où Bruxelles brusselait

     la gare de Woluwe

     

    Wolu1200 : Notre commune à l'époque où Bruxelles brusselait

    Piste de ski au parc de Roodebeek

     

    Wolu1200 : Notre commune à l'époque où Bruxelles brusselait

     Lieu non précisé quelque part à Woluwe

     

    Wolu1200 : Notre commune à l'époque où Bruxelles brusselait

     Pont de la Woluwe - Chapelle de Marie La Misérable

     

    Wolu1200 : Notre commune à l'époque où Bruxelles brusselait

     Vieux Moulin sur la Woluwe


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  • CECI EST UNE BOUTEILLE A LA MER.


    Wolu1200 : Appel désespéré d'une habitante de notre communeC EST L'HISTOIRE VRAIE D'UNE PETITE DAME DE 70 ANS, OPEREE D'UNE DOULOUREUSE OPERATION DE LA COLONNE VERTEBRALE, IL Y A 14 JOURS .

    CETTE DAME ADORE RIRE ET FAIRE RIRE LES AUTRES. TRES HEUREUSE DE SORTIR DE CHEZ ELLE OU ELLE POURRA SE REPOSER ET RECEVOIR DES SOINS MEDICAUX .ELLE A BIEN ENCORE MAL MAIS ELLE CROIT POUVOIR S'EN SORTIR CAR D'HABITUDE ELLE A LA GNAG ET PUIS UN PETIT COUP DE POUCE DE MORPHINE.
    MAIS LES CHOSE NE SE PASSENT PAS TOUJOURS COMME ON VEUT!               LA PORTE FENETRE DE SON LIVING EST BLOQUEE ET IMPOSSIBLE POUR ELLE D'OUVRIR OU DE FERMER.

    LA "SOCIETE DE LOGEMENTS SOCIAUX" APPELEE A LA RESCOUSSE LUI REPOND QU'ON NE PEUT RIEN FAIRE POUR ELLE ET DIT QU'ELLE A UNE FENETRE DANS SA CHAMBRE. SUPER DE DEVOIR RESTER DANS SA CHAMBRE EN SORTANT  DE CLINIQUE QUAND ON A, AVEC AMOUR, AMENAGE UN LIVING AVEC TERRASSE !

    "SOYONS VIGILANTS AVEC NOS AINE(E)S EN CAS DE FORTE CHALEUR !!!                                                        ET BIEN, ELLE, CETTE AINEE, EST LA,TOUTE SEULE ET MEME SI ELLE N'EN A PAS L'AIR, ELLE SOUFFRE TERRIBLEMENT. ELLE ESTAU BOUT DU ROULEAU. ELLE HABITE EN FACE DU PARC MALOU ET EST TOUJOURS EN ROBE DE NUIT CAR ELLE NE SUPPORTE PAS D'AUTRES VETEMENTS SUR CETTE DOULOUREUSE CICATRICE.

    TRES IMPORTANT :                                                                                                                                              

    LE CONSEIL D ADMINISTRATION DES HABITATIONS MODERNES DE WOLUWE-ST-LAMBERT N' EST PAS AU COURANT!!!!!                                                                                                                                                            IL Y A BEAUCOUP D ABSENTS.

    CONNAISEZ VOUS QUELQU'UN QUI POURRAIT FAIRE BOUGER LES CHOSES ???
    CAR CETTE PETITE DAME C'EST MOI ET JE CROIS QUE JE VAIS "PETER LES PLOMBs".

    Renee Hirsoux

    J'ai laissé ce message sur Facebook et j'espère qu'il sera partagé. Merci à tous. 


    Monsieur Maingain a pris connaissance de cette triste situation sur son lieu de vacances et m'a transmis le message suivant :  

    " Bonsoir Monsieur Delwart,

    Depuis la France, je prends connaissance du message repris sur votre blog. Je demande à mon directeur de cabinet, qui nous lit en copie, de contacter dès demain les services de l’Habitation moderne pour qu’une intervention rapide soit effectuée. Je lui demande de me tenir informé du suivi et je vous répercuterai l’info dès que possible.

    Merci de nous avoir avertis.

    A bientôt,

    O.Maingain

    Le 6 août 2015 "


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  • L'avion, qui a perdu une de ses pièces dans un jardin à Saint-Georges-sur-Meuse, est identifié.

    Il s'agit d’un Boeing 737 transportant des passagers.

    La pièce retrouvée est une partie du train d’atterrissage de la compagnie Tailwind, laquelle met des avions à disposition des tour-opérateurs», explique Christian Delcourt, le responsable de la communication de Liège Airport.

    Wolu1200 : Cela aurait pu se passer à Woluwe-Saint-Lambert, Madame GalantL’avion peut voler sans cette pièce, qui n’a pas un fonctionnement important.

    L’identification a été effectuée sur base des investigations de la direction générale du transport aérien (DGTA).

    Le 31 juillet dernier, des riverains de la rue des Combattants, à Saint-Georges-sur-Meuse, avaient retrouvé un morceau d’avion dans leur jardin ! 

    Longue d’environ 80 centimètres et pesant entre 5 et 7 kilos, la pièce n’a, heureusement, causé aucun dégât ni blessé. On l’a échappé belle !

     


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  • A la suite du remplacement mi-juin de la poutrelle de soutènement de la passerelle surplombant la chaussée de Stockel, l’Institut Bruxellois pour la Gestion de l’Environnement (IBGE) effectuera des travaux complémentaires aux tirants reliant la passerelle à la poutre mardi prochain.

    Wolu1200 : La passerelle de la chaussée de Stockel va rouvrir

    L’issue de ce chantier marquera la réouverture définitive du passage, un an après le signalement d’un risque d’effondrement lié à la forte dégradation de la poutre.

    Ces derniers travaux sont planifiés sur une seule journée. La circulation au niveau de la passerelle de la promenade verte sera interrompue le jour du chantier et jusqu’à obtention des documents attestant de sa sécurité et de sa stabilité. Des déviations seront signalées. Le plan de circulation provisoire est disponible sur le site de la commune. Les véhicules venant du boulevard de la Woluwe, de la chaussée de Stockel ou du chemin du Struykbeken, seront dirigés vers la rue des Déportés, la rue du Pontonnier, la rue André Crabbé, la rue Louis Jasmin et la rue Konkel. Ceux en provenance du quartier Grootveld devront s’orienter vers la rue Konkel, la rue de la Station de Woluwe et la rue des Déportés. Pour les piétons, le quartier Grootveld et la chaussée de Stockel seront accessibles via le Mont St-Lambert et la promenade verte.

    Pour rappel, la chaussée avait dû être fermée le 25 juillet de l’année dernière après que l’IBGE avait informé la commune, sur base d’une expertise, d’un risque d’effondrement. Des premiers travaux de soutènement avaient été réalisés début août par la Région, à la demande des autorités communales, afin de permettre le passage des piétons et des véhicules sur une bande de circulation. Des échafaudages avaient jusqu’alors été mis en place pour soutenir la passerelle.

    Source : http://www.lavenir.net/


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  • Dès la rentrée prochaine, le port du foulard jusqu’ici toléré sera interdit sur le site de l’ISEI, l’Institut Supérieur d’Enseignement Infirmier. Une réglementation qui rebute plusieurs jeunes filles de confession musulmane. Certaines finissent même par renoncer à poursuivre ce cursus.

    Wolu1200 : la haute école d'infirmiers De Vinci-ISEI ne tolérera plus le foulard à la rentrée prochaineL'interdiction du port de signes religieux dans les établissements supérieurs décourage quelques fois de jeunes filles à poursuivre ces études. Sur Internet, nous comptons par dizaines des témoignages de demoiselles de confession musulmane voulant s’inscrire dans une haute école en soins infirmiers qui finissent par abandonner l’idée, car ne pouvant pas porter le foulard comme elles le désirent. «  J’étais aux portes ouvertes de l’ISEI à Bruxelles pensant que le voile serait accepté. Une sœur m’a dit qu’ils acceptaient les bonnets. Mais l’année prochaine les couvre-chefs aussi ne seront pas acceptés, du coup je suis trop déçue !  » peut-on lire sur un forum.

    En effet, dès la rentrée 2015-2016, le port de signes convictionnels sera interdit, après avoir été toléré plusieurs années. «  Ce changement au niveau du règlement d’ordre intérieur s’est fait à la suite de la fusion de l’ISEI avec l’institut Parnasse l’an dernier. Le port du foulard était déjà prohibé au sein de cet établissement, l’ISEI s’est donc simplement aligné pour une meilleure harmonie  », informe Anne Melery, directrice du site de l’ISEI à Woluwe-Saint-Lambert.

    L’explication complète de la directrice et la réaction du CCIB (Collectif Contre l’Islamophobie en Belgique) à lire dans La Capitale de ce mercredi 5 août.

    Source et photo : http://www.lacapitale.be/1346949/article/2015-08-04/woluwe-saint-lambert-la-haute-ecole-d-infirmiers-de-vinci-isei-ne-tolerera-plus


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