Alors que rien n'est prouvé en ce qui concerne la nocivité des ondes des antennes-relais il faut bien constater que vous affolez la population en utilisant ds termes comme "sur le dos de la santé des enfants", "les effets biologiques de plus en plus avérés", le risque sanitaire est majeur", "c'est scandaleux"... Ajoutons-y la comparaison avec l'amiante qui a effectivement provoqué énormément de cas mortels, principalement dans l'industrie de l'amiante d'ailleurs, tout comme de très nombreux mineurs sont morts de la silicose et des milliers de  gens meurent aujourd'hui de la pollution dégagée par les braves citoyens qui ont achetés une voiture Diesel et là ce n'est pas une hypothèse : les particules fines dégagées SONT cancérigènes et provoqueront certainement des milliers de morts chez ceux qui sont nos enfants aujourd'hui. Quant à la phrase : "Pour le Pape qui nous a répondu juillet 2015, il s'agit d'une question importante....".  évidemment, si vous correspondez personnellement avec le Saint Père, qui suis-je pour encore oser faire une remarque?

P.S. Je n'ai jamais travaillé dans les télécoms et j'utilise mon smartphone que lorsque c'est strictement nécessaire et à l'écart, au contraire de tous ceux que je croise dans le métro et dont les appareils fonctionnent quasiment en permanence à la même distance de mes oreilles que des leurs. Malgré tout,  je suis plus gêné par leurs ondes sonores que par leurs ondes électromagnétiques. Tout le monde veut un GSM et surtout un réseau puissant et rapide mais personne ne veut d'antennes-relais.

• • delwart

    Vendredi 30 Octobre 2015 à 12:47
    

    Le paradoxe est justement là ! Tout le monde veut son gsm mais ne veut pas d'antennes-relais dont les ondes électromagnétiques ne sont pas bien connues quant à leurs conséquences pour notre bien être ! Ceci dit, l'article n'est pas de moi, je n'en suis que l'intermédiaire- rapporteur mais je partage pleinement l'inquiétude de beaucoup de personnes qui s'interrogent sur les conséquences à long terme de ces ondes que je crois, personnellement, nocives et dont nos enfants ou petits-enfants seront peut-être des victimes collatérales. Pour ce qui me concerne, si à mon âge ce sujet n'est plus d'actualité il l'est pour les générations suivantes. Je fais partie de cette population qui prônent le "principe de précaution". Ai-je tort ou ai-je raison ? Je ne serai plus là pour en connaître la réponse !

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