• Il y a de cela quelques mois, un échevin bruxellois s'est opposé à l'abattage d'arbres en évoquant le fait que si l'on abattait des arbres... ce ne devrait l'être que quand ceux-ci sont malades ou dangereux pour la population et non pas pour le confort visuel ou tout autre considération peu convaincante. 

    Le demandeur, Bruxelles-Environnement, semble avoir une approche un peu différente de celle de cet échevin bruxellois.

     Monsieur Gregory Matgen me confirme aussi que cette demande vient bien de... Bruxelles-Environnement et que la commune semble ne pas avoir de pouvoir décisionnaire. C'est surprenant mais c'est ainsi. De plus, en cas de recours, c'est la Région qui "tranche" pour un permis qu'elle a elle-même demandé...

    Selon le plan d'urbanisme ci-joint, il se confirme que Bruxelles-Environnement a l'obligation de replanter dans les 10 mois des arbres en remplacement de ceux qui ont été abattus.

    https://fr.woluwe1200.be/wp-content/uploads/2019/09/PU-SV_parc-Georges-Henri-park.pdf

     

    Petit rappel utile à tout un chacun  : 

    En ville, les arbres rendent de multiples services écologiques. Ils améliorent la qualité de l’air en absorbant des polluants et en fixant des particules fines. Ils participent à l’atténuation du réchauffement climatique global en stockant du gaz carbonique. Ils permettent aussi de lutter contre les phénomènes dîlot de chaleur urbain grâce à l’ombrage qu’ils fournissent lors des fortes chaleurs et à l’évapo-transpiration des eaux pluviales. Ils contribuent aussi à marquer l’histoire des villes, par des arbres considérés comme patrimoniaux.
    Ils favorisent enfin le bien-être et la bonne santé des populations citadines, qui plébiscitent la présence d’arbres et d’espaces verts boisés à proximité de leurs habitations.

     

     

    Liens utiles 

    http://et-notredevenir-il-est-ou.eklablog.com/a-nos-amis-politiques-et-architectes-en-ces-jours-de-canicules-a165759184?fbclid=IwAR3r1LxXLXVOWkLIch166F34tPV3x_pezra8Oqy1I95bryqFkOjPpqKuBrc

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    http://document.environnement.brussels/opac_css/elecfile/IF_EV_Parcs_Parc_Georges_Henri_FR

     


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    Bruxelles-Propreté dénature sa mission de propreté publique... dans notre rue

    Suite à des travaux dans l’avenue Gilbert Mullie qui s’éterniseront près de trois mois (si la météo reste clémente), Bruxelles-Propreté, par avis toutes-boîtes, a demandé aux riverains de déposer leurs sacs poubelles du mardi matin et du vendredi matin à deux points relais situés aux deux extrémités de cette rue car les camions-poubelles ne peuvent plus avoir accès au quartier.

    Bruxelles-Propreté dénature sa mission de propreté publique... dans notre rue

    A priori, cette idée semble faire preuve de bon sens mais, dans la pratique, il en est tout autre. Si, du côté Mullie/De Cuyper cela ne pose pas de difficulté car les sacs sont déposés à côté de la fontaine... toujours en panne, il n'en est pas de même pour Mullie/Sainte-Famille où cela pose un réel problème de sécurité et d’hygiène. Le souci est que plutôt que de déposer ces sacs du côté du trottoir situé place de la Sainte-Famille où il n’y a ni habitation ni passage de piétons (ou si peu), ils sont déposés devant l'immeuble qui fait le coin et ce tout contre les clôtures fragiles d'un jardinet qui, vu l’amoncellement et le poids total des sacs, risque de ne pas résister à la pression de ceux-ci. De plus, certains sacs sont éventrés par les corneilles et les renards, ce qui ne favorise pas la propreté de ce coin de rue qui risque, pendant trois mois, d’être un lieu prédisposé, vu la quantité de sacs déposée, à être une sorte de mini déchetterie publique sachant que l'on y trouve déjà une trottinette d’enfant sur les sacs blancs. Et ne comptez pas sur les habitants de cet immeuble pour ramasser les déchets des autres riverains. La solidarité a ses limites.

    Bruxelles-Propreté dénature sa mission de propreté publique... dans notre rue

    Bruxelles-Propreté aurait pu, dans l’avis transmis en toutes-boîtes, inviter les riverains à déposer leurs sacs-poubelles sur l'espace vierge situé derrière le trottoir du côté de la place de la Sainte-Famille où cela n’aurait impacté personne (voir photo ci-dessous). Pour éviter toute souillure qui serait provoquée par des sacs éventrés, il serait utile que Bruxelles-Propreté y installe une bâche ou tout autre système permettant de supporter ces dizaines de sacs poubelles afin qu'ils ne salissent pas cet espace.

    Bruxelles-Propreté dénature sa mission de propreté publique... dans cette rue

    Les personnes ayant des difficultés à se déplacer sont également oubliées dans cet avis de Bruxelles-Propreté car elles risquent, pour certaines, d'éprouver des difficultés à déposer ces sacs à une distance relativement lointaine et périlleuse pour elles. Elles devront compter sur la solidarité d'autres riverains, ce qui n'est pas toujours évident, surtout sur une période aussi longue.

    Avouez que cet avis pose question sachant que cela vient de Bruxelles-Propreté qui dénature ainsi sa mission de propreté publique par un choix mal défini pour le dépôt de ces sacs-poubelles.

    Je crois qu’il serait judicieux que, dans les plus brefs délais et dans l'intérêt de chacun, Bruxelles-Propreté, que j'ai contacté, envoie un nouvel avis qui invite les riverains à ne pas déposer ces sacs-poubelles dans un espace aussi peu judicieux pour une période aussi longue.

    Bruxelles-Propreté dénature sa mission de propreté publique... dans notre rue

     

     

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  • Incroyable : Sylvie découvre un sac Aldi rempli de bijoux en or dans un étang!Sylvie, Saint-Lambertienne, aime nettoyer des étangs de ses déchets. Ce mercredi après-midi, elle décide de se munir de ses bottes pour aller dans l’étang situé entre le Shopping et le sentier le long de la rivière Woluwe. Cette fois-ci, c’est un véritable « trésor » qu’elle a trouvé.

    Sylvie, habitante de Woluwe-Saint-Lambert se promène régulièrement dans sa commune avec des gants et un sac-poubelle à la main. Elle fait ce qu’elle appelle de la « balade-ramassage » de déchets. « Mes hobbies sont la balade-ramassage et la pêche à l’aimant. C’est une passion mais surtout un geste citoyen. J’estime que les canards ont droit à un étang propre », explique Sylvie, très soucieuse de la préservation de la faune et de la flore de sa commune. Elle a d’ailleurs dépollué la Woluwe jusqu’au Parc Malou de tous les objets ferreux.
    Munie de ses bottes, gants et râteau, elle ratisse ce mercredi l’étang situé à côté du shopping et du Kwak non loin du boulevard de la Woluwe, à la recherche de détritus. Elle tombe sur un sac Aldi. À cause de la sécheresse, le sac était immergé. « J’ai pataugé dans la vase. J’ai trouvé un sac. Dedans, il y avait deux coffres, un fermé à cadenas et l’autre pas. celui fermé était très lourd, il faisait au moins un kilo. Il y avait des pièces de monnaies et des bijoux en or. Dans l’autre coffre, il y avait une collection de couteaux suisses, une grosse chevalière et une alliance », indique-t-elle, certaine d’avoir trouvé là le fruit d’un cambriolage.

    Une fois le butin trouvé, elle a immédiatement appelé la police de la zone Montgomery. Les agents sont arrivés en vingt minutes. « Les policiers ont éclaté de rire. Je leur ai dit que c’était mon truc. Ils ont été super étonnés », sourit Sylvie.
    « C’est choquant de trouver ça mais en même temps je suis contente parce que les propriétaires des bijoux vont sûrement les récupérer », se réjouit la chercheuse de « trésors », en ajoutant : « Il y a eu souvent des cambriolages dans le quartier. Les bijoux ont une valeur sentimentale parfois, au-delà de l’argent. J’espère que les propriétaires les retrouveront. » Deux clefs USB pourront en effet peut-être identifier ceux-ci.

    Sylvie a ramassé 120 litres de déchets. Pour arriver à ramasser ce butin, la Saint-Lambertienne en était à son troisième jour de fouille. le premier jour, elle a ramassé des mégots de cigarettes et des détritus autour des berges. Le deuxième, elle a remarqué le sac mais il lui manquait un râteau. Elle est alors revenue ce mercredi munie de son râteau pour attraper le sac et découvrir ce qu’il y avait à l’intérieur.

    « Je fais souvent des appels aux citoyens pour nettoyer. Mais une seule personne est venue avec moi jusqu’à maintenant », déplore-t-elle. Les photos de ses balades-ramassages sont régulièrement postées sur la page Facebook « Woluwe-Saint-Lambert… par ses habitants… pour ses habitants ! »

    Source : Celine Arnould

    https://www.lacapitale.be/440723/article/2019-09-21/sylvie-decouvre-un-butin-dans-un-etang-de-woluwe-saint-lambert?fbclid=IwAR03B7eDK86A2HD4gW4TxZqalU5oxwQSiUL58LkgSh9yv_6vGfKCTvzI5iU


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  • Très grosses perturbations prévues pendant plusieurs semaines au pont Grosjean

    Dans le cadre des travaux de réfection du pont Grosjean, la Région bruxelloise nous informe que le pont Grosjean sera fermé à partir du lundi 23 septembre 2019 et pour une durée estimée à 12 semaines

    Travaux préalables d’aménagement du rond-point formé par les avenues des Pléiades, des Constellations et du Centaure
    Travaux de réfection du pont Grosjean

    Dans le cadre des travaux de réfection du pont Grosjean, la Région bruxelloise nous informe que le pont Grosjean sera fermé à partir du lundi 23 septembre 2019 et pour une durée estimée à 12 semaines.

    Préalablement à ces travaux, il sera procédé à des travaux d’aménagement du rond-point précité, du mercredi 18 septembre au vendredi 20 septembre 2019.

     

     Durant les travaux d’aménagement du rond-point, une partie de celui-ci sera fermée à la circulation.

    • Le pont Grosjean sera mis en sens unique en direction d’Evere.
    • Le débouché de l’avenue du Centaure dans le rond-point sera fermé à la circulation et des déviations seront mises en place.
    • Consultez le plan de déviation

    Les travaux de réfection du pont Grosjean se dérouleront en 2 phases:

    • Durant la phase 1 (travaux de désamiantage), le pont sera fermé à la circulation automobile, cycliste et piétonne pour une durée estimée à 6 semaines.
    • Durant la phase 2 (travaux de protection et pose de l’éclairage), le pont sera uniquement fermé à la circulation automobile pour une durée estimée à 6 semaines. L’accès sera possible pour les piétons, les PMR et les cyclistes.
    • Consultez le plan de déviation

    Informations concernant les lignes de bus de la S.TI.B.

    1. Durant les travaux d’aménagement préalables du rond-point:

    • bus 79: à partir de la rue Colonel Bourg, le bus sera dévié par l’avenue de Mars, la chaussée de Roodebeek, l’avenue des Constellations jusqu’à l’avenue des Pléiades.

    2. Durant les travaux de réfection du pont Grosjean:

    • bus 27: à partir d’Andromède, le bus 27 fera les arrêts Andromède, Capricorne et Pléiades.
      Le terminus actuel dans l’avenue Andromède ne sera pas desservi.
      Un terminus provisoire à hauteur du rond-point Constellations sera aménagé.

    Pour se rendre à Gulledelle (Cora), les riverains pourront soit:

    • prendre le bus 27 jusqu’à l’arrêt Andromède et ensuite continuer à pied par la rue d’Attique;
    • prendre le bus 27 jusqu’à l’arrêt Moonens à le bus 29 (direction Hof Ten Berg) jusqu’à Roodebeek à le bus 45 jusqu’à l’arrêt Gulledelle;
    • bus 79: il sera dévié dans les deux sens entre les arrêts Gulledelle et Carêne (rue Colonel Bourg) par l’avenue Léon Grosjean, la chaussée de Louvain et l’avenue des Communautés.

     Source : https://fr.woluwe1200.be/2019/09/16/travaux-de-refection-du-pont-grosjean.html?fbclid=IwAR2pqcuwy-LOCpWrT_rdjT7TGHZZh_cOklZH2QWtOfm74jtisN1XEXizICo


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  • 515 euros pour frais de déplacement en ambulance de Saint-Luc à Saint-Michel

    Le transfert en ambulance de Diane des cliniques universitaires Saint-Luc (Woluwe-Saint-Lambert) vers le site Saint-Michel des cliniques de l'Europe (Etterbeek) s'est déroulé "comme sur des roulettes", raconte Patrick. "On s’occupe de tout", lui aurait dit en substance le médecin urgentiste. Appréciable dans un contexte de stress et d'inquiétudes, sa femme devant être hospitalisée pour de graves problèmes respiratoires. Mais un service d'une telle diligence a un coût élevé auquel ne s'attendait pas Patrick. Un mois plus tard, la facture est arrivée dans sa boîte aux lettres : 515 euros. "C'est un scandale", lance-t-il via notre bouton orange Alertez-nous. 


    Le médecin urgentiste a organisé le transfert de Diane

    Suite à un cancer du larynx, Diane a subi une laryngectomie totale : les cordes vocales lui ont été retirées et la voie respiratoire a été séparée de la voie digestive. Une intervention qui a de lourdes conséquences sur la respiration, l'alimentation, l'usage de la parole...

    Le 10 juin dernier, Diane peine à respirer. Patrick l'emmène aux urgences des cliniques Saint Luc. Elle y reçoit des soins : oxygène, aérosols, kiné respiratoire... Compte tenu de son état, le médecin urgentiste décide qu'elle doit être hospitalisée. Aucun lit n’est disponible à Saint-Luc. Le médecin trouve une place à Saint-Michel et se charge du transfert en ambulance. "À aucun moment, nous ne sommes intervenus pour ce transfert et encore moins dans le choix de l'ambulance", précise Patrick.

    L'hôpital contacte la Croix Rouge pour effectuer le transport. 8 kilomètres. Coût de l'opération ? 288 euros, somme forfaitaire pour les 10 premiers kilomètres. A quoi il faut ajouter 227 euros d'honoraires pour l'infirmier et le médecin. Un total de 515 euros, entièrement à charge du patient.


     
    "Le transfert ne s’est pas déroulé dans le cadre de l’aide médicale urgente"

    Maggie De Block n'avait-elle pourtant pas annoncé que les interventions de véhicules d'urgence seraient facturées 60 euros pour tout le monde à partir de janvier 2019 ? Oui, mais... "Le problème ici est que le transfert ne s’est pas déroulé dans le cadre de l’aide médicale urgente mais sur la base des transports inter hospitaliers. Le transfert s’est fait par un partenaire privé et les coûts ne sont pas repris dans la législation de l’aide médicale urgente", explique Charlier Vinciane, porte-parole du SPF Santé Publique.


    288 euros les 10 premiers kilomètres, contre 65 euros en Wallonie

    Les transports en ambulance non-urgents relèvent des compétences régionales, et non fédérales. Et ce type de transport n'est pas réglementé en région bruxelloise, indique Marie-Christine Demotte, responsable du service juridique de l'Union Nationale des Mutualités Socialistes. "Le montant me semble toutefois fort élevé pour les 8 km parcourus. A titre de comparaison, pour un transport non urgent en région wallonne, le forfait pour les 10 premiers km est de 65.25 euros", remarque-t-elle.

    L'hôpital aurait du informer la patiente des coûts du transport et de solutions alternatives

    Les patients rarement prévenus du coût du transport

    Patrick fait des pieds et des mains pour tenter de se faire rembourser. Mais sur les 515 euros, sa mutuelle n'intervient qu'à hauteur de 55 euros. "J'ai beau expliqué à la Croix-Rouge, à St Luc et à la mutuelle que je n'ai rien demandé concernant ce transfert imposé par le médecin urgentiste, ils ne veulent pas intervenir plus", s'indigne le sexagénaire.

    Ce qui le révolte le plus, c'est qu'aucun choix ne lui a été donné, aucune mise en garde par rapport au prix du transport en ambulance ne lui a été faite. "L'hôpital, dans le cadre de la loi des droits du patient aurait du informer la patiente des coûts du transport et de solutions alternatives", indique Charlier Vinciane. "Il serait, en effet, préférable que les hôpitaux préviennent les patients", estime Marie-Christine Demotte. "Mais dans la pratique, on constate que c’est rarement le cas, poursuit-elle. En outre, le patient n’est pas toujours en mesure de recevoir cette information".


    Mutas, l'organisme à contacter pour le transport non-urgent des patients

    Lorsque Patrick a contacté sa mutuelle, la FMSB, on lui a expliqué qu'il aurait dû contacter Mutas pour l'organisation du transport. "Les différents hôpitaux sont au courant de l'existence de cet organisme", lui écrit un responsable de la mutuelle. Ce projet intermutualiste organise en effet le transport non-urgent des patients. "La demande de ce transport peut être faite par le patient ou par l'hôpital. Si elle est demandée par l'hôpital, elle doit toujours être portée à la connaissance du patient. Au moment de la demande, Mutas indique les prix du transport, afin que le patient sache toujours combien coûtera le transport", explique Anja De Leeuw, Operations Manager chez Mutas. Le patient peut ainsi bénéficier du système de tiers payant, c'est à dire ne payer que le montant à sa charge sans avancer le montant correspondant à l’intervention de l’assurance soins de santé.


    ... mais pas dans le cas de Diane

    Mais contrairement à ce qui a été dit à Patrick, le cas du transport en ambulance de Diane n'entre de toute façon pas dans le champ d'application de Mutas. Car il relève du transport médical, c'est-à-dire qu'une infirmière et un médecin accompagnent le patient, explique Anja De Leeuw. "L’état du patient doit être stable et ne pas nécessiter de traitement médical et/ou de supervision pendant le transport", précise-t-elle. Si Mutas n'est pas en mesure d'organiser le transport, l'intervention de la FMSB est plafonnée à 55 euros en région bruxelloise, indiquent les statuts de la mutuelle, que nous a présentés Elise Dubetz, responsable du service études de la FMSB. Cette intervention relève de l'assurance complémentaire. Aucune intervention de l'assurance obligatoire n'est prévue dans ce domaine.


    Le service médiation des Cliniques Saint-Luc décide de rembourser Patrick

    Patrick estime de toute façon que l'hôpital Saint-Luc  n'a "pas fait ce qu'il fallait faire""La procédure apparemment à Saint Luc, et peut-être ailleurs, n’a pas l’air d’être très connue", dénonce-t-il. Y-a-t-il eu un dysfonctionnement lors du transfert inter hospitalier de Diane? "Les Cliniques universitaires Saint-Luc ne communiquent pas à propos des patients et ne font aucun commentaires à propos de leur dossier", répond Sylvain Bayet, Chargé de communication aux cliniques universitaires Saint Luc. "Le dossier est en cours au Service de médiation des Cliniques Saint-Luc", précise-t-il.

    Presque deux mois après que Patrick a reçu la facture de la Croix Rouge, le service médiation des Cliniques Saint-Luc a finalement décidé de rembourser la différence entre l'intervention de la FMSB et le montant total, soit 460 euros, nous fait savoir Patrick. "Parce que la procédure n'a pas été respectée", rapporte-t-il. Une décision satisfaisante pour le mari de Diane. Mais il a tout de même l'impression que les démarches pour se faire rembourser sont compliquées à dessein : "Tout est fait pour décourager le patient".

    Source et photo : Pierre Fagniez

    https://www.rtl.be/info/vous/temoignages/patrick-recoit-une-facture-de-515-euros-pour-8-km-en-ambulance-entre-deux-hopitaux-c-est-un-scandale--1154446.aspx


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  • Enorme cette information révélée par la RTBF !

    Je croyais que les camions hors-gabarit qui s'engouffraient en toute connaissance de cause dans les tunnels en les abîmant étaient poursuivis pénalement ! Eh bien non! Les autorités bruxelloises envisagent le volet répression. 

    Quelle solution pour les camions bloqués dans les tunnels bruxellois ?

    "Jeudi passé, un camion hors-gabarit restait bloqué dans le tunnel Rogier, ce qui avait entraîné beaucoup d'embarras de circulation. C'est loin d'être la première fois que cela arrive. 

    Des solutions existent mais pour Camille Thiry, porte-parole de Bruxelles Mobilité, les "barrières" installées dans les tunnels ne constituent pas la meilleure "réponse".

    "En général, les camions traversent les portiques, les endommagent et continuent quand même jusqu'à l'ouvrage. Le pont Grosjean, situé à la limite d'Evere et de Woluwe-Saint-Lamberta déjà été endommagé plusieurs fois. On doit de toute façon alors fermer l'ouvrage pour réparer le portique. Ce n'est donc pas un système pour lequel nous sommes particulièrement favorables."

    Bruxelles Mobilité préfère développer le volet "répression". "On va poursuivre le conducteur et/ou la compagnie par rapport aux dégâts occasionnés. Maintenant, c'est aux sociétés de transport et aux chauffeurs à prendre leurs responsabilités. Ils doivent respecter le code de la route. Il est clairement interdit (aux camions hors-gabarit) d'entrer dans les tunnels bruxellois. Les panneaux, la signalétique sont bien présents à chaque entrée de tunnel."

    Source : RTBF


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