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    Réduire au silence ceux qui osent se plaindre du bruit d'un aéroport...    La justice bruxelloise sait y faire !

     

    Voici une histoire à dormir debout.

    Dans cet email : l'histoire de huit bruxellois qui déposent plainte contre X.
    But : faire cesser la pollution sonore de l'aéroport qui les empêche de dormir.
    Mais la justice va les intimider et les réduire au silence. Récit.

     

     

    Dans un premier temps, leur plainte contre X est requalifiée par le procureur en plainte nominative. Ils n'en sont pas informés au préalable, ce qui les prive du droit à la rétractation. Ce n'est pas légal.

    Dans la foulée, le même procureur prétend ignorer les domiciles de deux fonctionnaires d'état francophones cités - alors que ceux-ci reçoivent leur salaire de l'état - pour faire ressortir une majorité d'inculpés néerlandophones. Il dresse alors un réquisitoire d'irrecevabilité car... non rédigée en néerlandais. 
     
    Dans un second temps, la chambre du conseil, dans la même ordonnance,

    • suit le paquet en jugeant la plainte irrecevable car dans la mauvaise langue et
    • condamne les huit plaignants à verser des dépens à des inculpés de complaisance puisque l'irrecevabilité de la plainte n'a pas déclenché d'instruction qui aurait dû identifier d'éventuels inculpés.

    La chambre du conseil va fixer des dépends maximum, non en fonction du (petit) nombre d'avocats impliqués comme c'est coutume mais en fonction du (plus grand) nombre de personnes qualifiées d'inculpés. C'est paradoxal : personne n'a jamais été inquiété comme il n'y a jamais eu d'instruction. Au total plus de 14.000 € de frais à verser par les plaignants. Une somme énorme.
     
    S'estimant discriminés, les plaignants portent plainte pour discrimination. Cette procédure interrompt légalement la phase d'appel. Sauf ici... La cour d'appel passe outre et confirme l'ordonnance de la chambre du conseil. Au passage, elle ajoute des dépens supplémentaires pour un total de plus de 17.500 € de frais à verser. 
     
    Nos huit plaignants n'acceptent toujours pas. Au regard des nombreuses irrégularités précédentes, leur dossier est solide et ils se retrouvent à la Cour de cassation.

    Mais à ce stade et contre toute attente, l'avocat général demande que le pourvoi en cassation soit jugé irrecevable car ... non fourni aux inculpés de complaisance avec la complicité du parquet. Personne n'a été réellement inculpé et le pourvoi en cassation portait uniquement ... sur le montant des dépends.
     
    Nos huit plaignants n'acceptent toujours pas et demandent à la Cour de cassation de rectifier et réinterpréter son arrêt par lequel elle a suivi l'avocat général.
     
    Ne pouvant pas accepter de se retrouver accusé de "freiner la justice", nos huit plaignants retournent en Justice : une plainte contre X est déposée avec constitution de partie civile... pour les fausses inculpations de complaisance.
     
    Et le parquet d'instruire contre le parquet ...

    Nous ne lâcherons rien ni pour eux ni pour nous.
    Vous devez savoir que nous apportons notre soutien total à ces 8 personnes.
    8 personnes qui agissent pour l'intérêt général.

    Bien à vous.
    Charles SIX
     

     

    Transmettez cette histoire autour de vous. 

     

     

     

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  • Le ménage ne peut bénéficier de l’entièreté du montant de la prime que s’il reste domicilié au moins 5 ans à Woluwe-Saint-Lambert.

    Wolu1200 : Une prime pour inciter les automobilistes à abandonner leur voiture privée

    Dans le cadre de sa politique de mobilité et de protection de l’environnement, le collège de Woluwe-Saint-Lambert crée une prime pour inciter les ménages domiciliés dans la commune à abandonner l’usage de leur voiture ou de leur seconde voiture.

    Cette prime d’un montant total de 1 500€ sera échelonnée sur 5 ans avec le payement de montants progressifs

    Le ménage ne peut, en effet, bénéficier de l’entièreté du montant de la prime que s’il reste domicilié au moins 5 ans à Woluwe-Saint-Lambert et reste dans les conditions d’octroi.

    Une majoration de 250€ (50€/an) est prévue si le véhicule est détruit et donc non revendu.

    - 100 € la 1re année, majorés de 50 € en cas de destruction du véhicule ;

    - 200 € la 2e année, majorés de 50 euros en cas de destruction du véhicule ;

    - 300 € la 3e année, majorés de 50 € en cas de destruction du véhicule ;

    - 400 € la 4e année, majorés de 50 € en cas de destruction du véhicule ;

    - 500 € la 5e année, majorés de 50 € en cas de destruction du véhicule.

    La prime est octroyée à toute personne domiciliée à Woluwe-Saint-Lambert qui fait radier la plaque d’un véhicule dont il est propriétaire depuis au moins 1 an.

    L’objectif de cette prime vise à favoriser l’utilisation de modes de déplacement moins polluants que la voiture individuelle, mais également à améliorer la mobilité car en diminuant le nombre de voitures, on diminue les problèmes de mobilité et de stationnement dans les quartiers. 

    Le règlement entrera en vigueur en juillet 2019. Les demandes doivent être introduites avant le 31 décembre 2019 pour les radiations de plaques effectuées depuis le 1er octobre 2018.

    Source : https://www.dhnet.be/regions/bruxelles/bruxelles-mobilite/woluwe-saint-lambert-une-prime-pour-inciter-les-automobilistes-a-abandonner-leur-voiture-privee-5cc1acc57b50a6029462336a?fbclid=IwAR38moHsqO-o63u1shkktqD4plysk2TEZADdzG0BtCLTEguzh55vjluzKRE#.XMGy55XEjtg.facebook


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  • Message de Eric Bott

    C’est avec une profonde émotion que j’ai appris aujourd’hui le décès de Claudine Peeters, ancienne échevine de la Jeunesse et des Sports de notre commune. Je lui avais succédé dans ces fonctions en 2006 mais j’avais aussi eu auparavant la chance de travailler sous sa direction, durant une douzaine d’années, en tant que responsable du stade Fallon. Une période au cours de laquelle j’ai énormément appris à ses côtés d’un point de vue professionnel. Très triste nouvelle ! Mes plus sincères condoléances à tous ses proches.


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  • En cette Journée mondiale de la Lecture, un défi belge vous invite à vous octroyer au moins quinze minutes de lecture. Un appel à la mobilisation qui entend vous faire dépoussiérer vos livres.

    Lire un bouquin pendant quinze minutes : c'est le défi du jour

    Si certains dévorent un livre en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, d’autres en revanche sont les pros pour les amasser en une pile sans jamais prendre le temps de les ouvrir. Cette pratique a même un nom : le tsundoku, ou l’art d’empiler des bouquins sans les lire. Pour tenter d’y remédier, l’Association d’Éditeurs belges (ADEB), le Centre de littérature jeunesse de Bruxelles et La Foire du Livre de Bruxelles lancent aujourd’hui avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles, un nouveau challenge appelé " Tout le monde lit ". L’idée ? Lire un livre pendant au moins quinze minutes sur la journée.

    Lire un bouquin pendant quinze minutes : c'est le défi du jour

    La lecture, un loisir oublié

    Si vous n’avez pas de livre sous la main, Tout le monde lit vous propose de lire gratuitement des livres mis à disposition dans le coin « lecture » du site durant toute la semaine pour petits et grands. L’objectif de cette mobilisation est de sensibiliser le grand public, les entreprises et le monde de l’enseignement à l’importance de la lecture. Car en plus d’enrichir notre vocabulaire et de nous former, la lecture possède de nombreux avantages et bienfaits. Elle permet entre autres d’accroitre la concentration, d’améliorer la mémoire, mais aussi de diminuer le stress et l’anxiété ou encore d’améliorer la qualité du sommeil.

    Certaines écoles ont commencé à instaurer la lecture obligatoire dans leurs classes. Pour l’Institut de la Providence à Woluwe-Saint-Lambert par exemple, le quart d’heure de lecture quotidien a permis d’avoir des élèves plus calmes et d’éviter les bousculades au moment de la récréation. D’autres établissements le font également et partout, les effets bénéfiques de la lecture semblent se faire ressentir.  

    Envie de vous aussi relever le défi ? Déconnectez lors de votre prochaine pause et ouvrez un bouquin durant quinze minutes. L'idéal étant de le faire tous les jours. Pour en savoir plus, rendez-vous sur la page du site. 

    PAR ANISSA HEZZAZ. PHOTOS : JOÃO SILAS ON UNSPLASH. | LE 23 AVRIL 2019
     

    Lire un bouquin pendant quinze minutes : c'est le défi du jour

     Lien utile : 

    http://woluwe-saint-lambert.eklablog.com/wolu1200-l-institut-de-la-providence-instaure-un-quart-d-heure-de-lect-a137669794


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  • 150 arbres seront abattus entre Andromède et Charmille

    L'inquiétude est grande du côté des riverains entre Andromède et Charmille car près de 150 arbres vont être abattus. Alors que depuis de nombreuses années le Val d'Or se vide peu à peu de sa chlorophylle et de ses espaces boisés semi-sauvages, ces 150 arbres qui seront décapités laissent pantois les riverains et tous les amoureux de la nature, nature qui, quoi qu'en disent nos édiles communaux, se raréfie de plus en plus dans notre belle commune de moins en moins verte.

    150 arbres seront abattus entre Andromède et Charmille

    Gregory Matgen (échevin Développement durable – Environnement - Planification et perspectives – Mobilité – Politique énergétique - Promotion du patrimoine architectural – Protection animale) a répondu aux inquiétudes exprimées par nombre d'habitants de notre commune sur la page Facebook du groupe "Woluwe-St-Lambert... par ses habitants... pour ses habitants! (https://www.facebook.com/groups/337747606310352/)

    "Cette zone est non constructible. C'est Bruxelles-Environnement qui va reprendre la gestion du site appartenant jusqu'alors à des propriétaires privés. Les équipes de Bruxelles-Environnement ont identifié 150 arbres *sur un millier* qui ne sont pas sains et qui sont potentiellement dangereux pour le public. Le site ayant pour vocation en effet d'accueillir dans le futur un tronçon de la promenade verte qui fait le tour de la Région bruxelloise (Il n'a en revanche pas vocation d'être transformé en parc. Il est prévu qu'il demeure une zone naturelle de type forestière). D'où la demande de permis de Bruxelles-Environnement. 
     
    Question de H.d.J : Les arbres non-sains, c'est toujours une bonne excuse. Va-t-on replanter d'autres arbres sains à la place?
     
    La commune s'est déjà opposée à de nombreux chantiers ces dernières années comme le site de Jacques Brel, la ferme aux Oies, le bosquet marécageux Hof ten Berg par exemple. Et la commune a pu à l'époque empêcher sur le plan urbanistique que cette zone verte du site du Val d'Or dont il est question ici soit aussi construite comme c'était initialement prévu . Rien n'empêche par contre un propriétaire privé d'introduire un permis de construire si son terrain est en zone constructible au plan régional d'aménagement du sol. La commune et les habitants peuvent exercer le cas échéant des recours si le projet est inacceptable et que malgré l'avis négatif de la commune formulé en commission de concertation la Région qui délivre le permis suit une autre voie.
     
    Question de H.d.J : Pouvez-vous nous montrer ces cartes des espaces verts 1999-2019 ?
     
    Pas besoin de carte aérienne pour vérifier qu'entre 1999 et 2019 des nouveaux immeubles sont sortis de terre à Woluwe. On peut même remonter bien plus loin dans le passé pour examiner l'urbanisation de la Région bruxelloise et de notre commune. Il suffit de consulter le site http://bruciel.brussels/. A moins de prôner la suppression du droit de propriété et défendre une logique collectiviste, vous ne pourrez pas interdire un propriétaire terrien de faire valoir ses droits et d'introduire un permis pour construire conformément aux prescrits urbanistiques. Je peux toutefois vous dire que lors de mes 6 premières années en tant qu'échevin, j'ai pu constater que le collège n'a pas hésité à adopter des positions strictes par rapport aux projets immobiliers présentés, plus strictes souvent que la Région. En outre, les espaces verts publics sont en augmentation. La commune a acheté par exemple le terrain de la Poste situé avenue des Iles d'Or pour qu'il demeure une zone verte justement. Autre exemple, le collège a également entrepris des démarches pour empêcher la construction à la Ferme aux Oies, Les pouvoirs publics ne peuvent toutefois pas tout racheter."
     
    Pour les commentaires, argumentations et contre-argumentations complètes des intervenants lors de cette joute sur FB, je vous invite à les découvrir sur la page concernée en cliquant sur le lien ci-dessous : 

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  • Dans le cadre des commémorations de la Seconde Guerre mondiale, une soirée d’hommage à Sarah Goldberg se tiendra à Wolubilis le 9 mai prochain.

    Wolu1200 : L’histoire d’espoir de la Résistante armée Sarah Goldberg

     

    Grâce à la collaboration avec la société de production Irdecof, vous aurez l’occasion de découvrir le film L’histoire d’espoir de la Résistante armée Sarah Goldberg, réalisé par Patricia Niedzwiecki.

    Résistante juive pendant la Seconde guerre mondiale, Sarah Goldberg fait partie des rescapés d’Auschwitz. À l’aide d’images d’époque, le film illustre le témoignage de cette femme qui a lutté tout au long de sa vie contre le racisme sous toutes ses formes.

    En 2013, la commune de Woluwe-Saint-Lambert a dédié une voirie à Sarah Goldberg et son époux, en hommage à leur passé de résistants.À l’issue de la projection, le service en charge de la promotion du patrimoine exposera quelques documents d’époque retraçant le parcours de Sarah Goldberg et vous invitera à partager le verre de l’amitié. 

    L’histoire d’espoir de la Résistante armée Sarah Goldberg
    Jeudi 9 mai à 20h

    Théâtre de Wolubilis
    1, cours Paul-Henri Spaak
    Gratuit mais réservation au 02.761.60.30
    www.wolubilis.be

    Wolu1200 : L’histoire d’espoir de la Résistante armée Sarah Goldberg

    Wolu1200 : L’histoire d’espoir de la Résistante armée Sarah Goldberg 

    Mais aussi : 

    http://woluwe-saint-lambert.eklablog.com/inauguration-de-l-allee-sarah-et-jacques-goldberg-a92290423


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  • Les 20 bornes de rechargement pour les véhicules électriques annoncées par le ministre de la Mobilité Pascal Smet (sp.a) en février dernier, devaient être installées avant les vacances de Pâques. Mais l’installation a pris du retard, confirme le cabinet du ministre à Bruzz.

    Les 20 bornes électriques promises par la Région arriveront avec du retard

    Le 18 février dernier, le ministre bruxellois de la Mobilité Pascal Smet avait annoncé en commission Infrastructures du Parlement bruxellois l’installation de vingt nouvelles bornes publiques de rechargement pour véhicules électriques d’ici les vacances de Pâques. Le tout réparti sur les territoires d’Anderlecht, Bruxelles, Etterbeek, Ganshoren, Jette, Auderghem, Schaerbeek, Molenbeek, Woluwe-Saint-Lambert et Uccle. Cette déclaration faisait suite à l’installation, une semaine plus tôt, des quatre premières bornes proposées par la Région, à Evere.

    Mais deux mois après cette déclaration, aucune autre borne publique n’a finalement vu le jour. “Les emplacements demandés par les communes étaient surtout stratégiques. Mais les communes n’ont pas pris en compte le réseau électrique de Sibelga”, explique le porte-parole du ministre, Mathias Dobbels, à Bruzz. Du coup, la plupart des emplacements choisis ne peut être reliée au réseau Sibelga. Les communes et le fournisseur des bornes électriques PitPoint sont donc en train d’étudier de nouveaux emplacements pour installer ces fameux points de recharge.

    “Si la Région avait été pleinement compétente…”

    Toutefois, le ministère de la Mobilité affirme que les bornes devraient être installées d’ici mai ou juin, au maximum. “Cela aurait pu être plus rapide si la Région avait été pleinement compétente et si nous n’avions pas eu à consulter toutes les communes comme nous devons le faire aujourd’hui”, commente encore Mathias Dobbels.

    D’ici la fin de l’année, la Région bruxelloise espère avoir installé cent bornes publiques de rechargement pour véhicules électriques. Chaque borne permet le chargement simultané de deux véhicules avec une puissance maximale de 11 kW (soit près de 3 heures et demie pour une recharge). Il ne s’agit donc pas d’un rechargement rapide. Le réseau n’est pas assez solide pour cela, l’infrastructure nécessaire est trop importante et le coût trop élevé, selon le ministre Pascal Smet.

    Source : https://bx1.be/linkebeek/les-20-bornes-electriques-promises-par-la-region-arriveront-avec-du-retard/

    Gr.I. – Photo : BX1


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  • Trois espaces publics seront équipés de machines où pour chaque canette rapportée, on reçoit une prime de retour de 5 centimes d’euros à valoir sous forme d’un bon d’achat dans des commerces partenaires. 

    Woluwe1200 : Bruxelles teste un dispositif de prime-retour pour les canettes dont un à Woluwe

    Nouveauté à Bruxelles : la Région lance ce lundi un projet pilote de "prime retour" pour les canettes. A l’initiative de Céline Fremault (CDH) et Fadila Laanan (PS), respectivement ministre de l’Environnement et secrétaire d’État à la Propreté publique, et en partenariat avec Fost Plus, l’ULB, l’UCL et la Ville de Bruxelles, la Région va faire la chasse aux canettes non recyclées. A partir de ce 8 avril, trois espaces publics sont équipés de machines où pour chaque canette rapportée, on reçoit une prime de retour de 5 centimes d’euros à valoir sous forme d’un bon d’achat dans des commerces partenaires.

    Elles sont installées sur le campus du Solbosch, devant les cantines universitaires avenue Paul Héger à Ixelles, sur le site Alma de l’UCL, à Woluwe-Saint-Lambert et sur la place de la Monnaie à Bruxelles-Ville.

    Le fonctionnement est simple : il suffit d’introduire une ou plusieurs canettes dans la machine et, en retour, on reçoit un bon d’achat de la valeur correspondant au nombre de canettes rapportées (1 canettes = 5 centimes d’Euro). Les bons sont à faire valoir auprès de magasins Good Food et d’établissements Horeca. La liste des commerces participants se trouvera à terme sur www.primeretour.brussels

    Chaque machine peut contenir jusque 4 500 canettes. Le système devrait être testé durant six mois au moins, durant lesquels des mesures du flux et de propreté seront menés pour évaluer son impact sur le terrain. Ce test visera à vérifier si une telle méthode peut diminuer la présence de canettes par terre dans l’espace publique, grâce à meilleure captation des canettes consommées "on the go".

    A l’heure actuelle, trop de canettes sont jetées dans l’espace public, ce qui causent des problèmes de propreté publique. 

    "Aujourd’hui, nous considérons les déchets comme quelque chose dont nous devons nous débarrasser le plus rapidement possible. S'il n'y a pas une corbeille à proximité, les gens ont tendance à les jeter par terre. La clé pour changer ces comportements reste selon moi l'éducation. Cela peut se faire par la sensibilisation, les amendes ou encore les incitants comportementaux. C'est cette piste que nous étudions avec ce projet pilote. Cette machine devrait contribuer à ce que les gens considèrent leurs déchets non plus comme des choses à jeter mais comme des ressources", commente Fadila Laanan, Secrétaire d’État à la Propreté publique.

    Source et photo : https://www.dhnet.be/regions/bruxelles/bruxelles-teste-un-dispositif-de-prime-retour-pour-les-canettes-5cab29987b50a60b4599160b?fbclid=IwAR28TBSKnSmLVlsOBXWzMDiwWEOec0_E7T86ZylS02oIrfE3FxZcwTqXHNQ


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  • 15 mois après la Wallonie et la Flandre, le prix unique du livre arrive enfin à Bruxelles. Finie la guerre des prix avec la grande distribution, et l'ogre du secteur, Amazon: désormais tout le monde est soumis à la même enseigne.

    Le prix unique du livre est une réalité dans toute la Belgique dès ce vendredi

    "Beaucoup de clients viennent voir, lire, poser des questions, et si le prix est moins cher en ligne, ils prennent leurs smartphones et commandent en ligne", explique Martin Hardy, gérant de la librairie Cook and Book à Woluwe-Saint-Lambert.

    L'autre versant du prix unique, c'est la mort programmée de la tabelle, un surcoût de 10 à 15% du tarif d'un livre en Belgique par rapport à la France
    A l'époque c'était justifié par des surcoûts logistiques d'importation de douane et de taux de change, mais depuis l'euro, la tabelle a perdu de son sens. Elle diminuera pour disparaître définitivement au  1er janvier 2021 partout sur le territoire.

    Source et photo : 

    https://www.rtbf.be/info/societe/detail_le-prix-unique-du-livre-est-une-realite-dans-toute-la-belgique-des-ce-vendredi?id=10188501


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  • Pas gastronomique, la cuisine italienne? Da Mimmo va vous faire découvrir que non, la nourriture du pays de Dante ne se résume pas à la pizza quattro formaggi (même si on l’aime aussi). Découverte de ce restaurant étoilé resté discret beaucoup trop longtemps.

    l’étoilé Da Mimmo nous donne une leçon de gastronomie italienne

    Le concept ?

    Loin des quartiers branchés où les restaurants hyper instagrammables ouvrent et ferment chaque semaine, Da Mimmo prend ses quartiers à Woluwe-Saint-Lambert depuis 25 ans. Début 2019, Mimmo Zizza, propriétaire des lieux, décide de remettre son établissement, et c’est la famille Litvine — on ne la présente plus — qui le reprend. Résultat : une identité conservée et modernisée et des prix revus… À la baisse!

    C’est donc derrière une façade assez discrète en plein quartier résidentiel que se cachait Da Mimmo pendant toutes ces années. Une fois la porte d’entrée passée, Monsieur Bob, véritable mémoire ambulante des lieux, est aux petits soins pour ses hôtes. Giuseppe, le maître d’hôtel, réserve lui un accueil chaleureux et haut en couleurs (merci l’accent québécois qu’on adore) autour d’une coupe de Ruinart, what else. Notre moment préféré? Son explication incarnée des plats proposées dans les menus. Pas de doute, on voit là l’amour du métier.

    La carte ?

    Et les menus justement, on en salive à l’énoncé. Le soir, vous avez le choix le menu « pasta » en 4 services à 76€ (3 dégustations de pâtes selon l’inspiration du jour et un dessert) et le menu découverte en 5 services à 105€ (les plats signature du chef et un dessert). Sur le temps de midi, l’option lunch à 45€ (entrée, plat et dessert) promet lui aussi une très belle expérience étoilée à un prix abordable.

    Sur la carte, donc : vitello tonnato, saumon cuit basse température, tagliatelles al ragu et espuma de parmesan, Saint-Jacques au lardo di Colonnata, pavlova revisitée ou encore les meilleures taglierini à la truffe noire qu’il nous ait été donné de goûter. Le tout servi à un rythme parfait, ni trop lent ni trop rapide, on salue la chorégraphie!

    La cave ?

    La carte des vins a elle aussi été revue en corrigée, et propose désormais une belle sélection de bouteilles d’exception comme leur incroyable Barbaresco, mais aussi de bouteille à des prix plus raisonnables comme le très bon Nero d’Avola Graffetta 2016. Si vous décidez de prendre les accords mets-vins, faites confiance à Giuseppe les yeux fermés.

    L’ambiance ?

    En salle, la décoration est épurée mais enveloppante, et les chaises sont tellement confortables qu’on n’a plus envie d’en bouger. Niveau ambiance, Da Mimmo est un resto chic sans être snob. D’ailleurs, le chef sort régulièrement de ses cuisines pour discuter des plats avec les clients, nous glissant au passage quelques secrets de ses recettes savoureuses. On repartira de là tard dans la soirée, un large sourire plaqué sur nos visages. Pourquoi? Parce qu’on sait qu’on reviendra.

    Plus d’infos

    Où? Avenue du Roi Chevalier 24, à 1200 Woluwé Saint-Lambert

    Quand? Fermé le samedi midi et le dimanche

    Infos et réservations? damimmo.be et 02 771 58 60

    Source et photo : https://marieclaire.be/fr/bruxelles-da-mimmo/#slider-68165_1-11

    Lien utile : 

    https://www.7sur7.be/7s7/fr/1524/Cuisine/article/detail/3526077/2019/04/20/De-la-cuisine-italienne-de-haute-voltige-chez-Da-Mimmo.dhtml

     

     

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