• Cette "oeuvre d'art", en cours d'installation, a déjà fait couler beaucoup d'encre sur les réseaux sociaux de la commune. Les commentaires, en majorité, font preuve de beaucoup de sarcasme et de moquerie.

    A vous de voir si cette "oeuvre d'art" en est vraiment une !

    Pour ma part, je l'aurais appelée "Décadence artistique", mais cela n'engage que moi.

    La question que je me pose aussi est celle-ci : Sur base de quels critères la commune accepte-t-elle ce type d'oeuvre d'art déconcertante et... avant-gardiste ? Ceci dit, cette "oeuvre d'art" est exposée sur la voie publique grâce (ou à cause) de Wolubilis, centre culturel de WSL, subsidié, pour partie, par la commune.

    Oeuvre d'art controversée à Wolubilis

    Oeuvre d'art controversée à Wolubilis

    Selon son concepteur, Xavier Mary, artiste liégeois, cette oeuvre est inspirée par les temples cambodgiens, vestiges de civilisations passées, qu’il a visités à de multiples reprises. Xavier Mary est fasciné par les formes fractales, des structures géométriques qui se répètent à l’infini à différentes échelles. Il associe cette influence à son langage artistique qui passe par l’utilisation de matériaux contemporains et industriels.

    https://www.rtc.be/video/culture/expos/mx-temple-une-oeuvre-monumentale-de-xavier-mary-acquise-par-la-collection-uhoda-_1507616_325.html?fbclid=IwAR3Q8LkHx5h82_xC5Dv690OLhHb5ylnPgXWSAXeKJUZ17vf0K0U3m6vGvfs

    Autres oeuvres de l'artiste liégeois 

    Oeuvre d'art controversée à Wolubilis

     

     

    Lien utile : https://www.rtbf.be/info/regions/detail_woluwe-saint-lambert-une-uvre-d-art-fait-reagir-les-passants?id=10690044&utm_source=rtbfinfo&utm_campaign=social_share&utm_medium=fb_share&fbclid=IwAR0OUkM9rNBHF42_Tfl5fgIztqKMmwCX23jfqasbAdDr9pTYRD5eibWKKvA


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  • De part et d'autre de la frontière linguistique, on ne communique pas de la même façon dans cette campagne de vaccination. Certes, le plan stratégique a bien été défini au niveau fédéral, mais chaque Région dispose d'un réel pouvoir d'initiative pour l'exécuter à sa manière.

    En passant le trottoir de WSL à Kraainem, le couvre-feu est 2 h plus tard

    Dans un pays "normal", on aurait eu droit à la même campagne de sensibilisation sur les plus grandes chaînes de télé, à la même date, pour toute la population. Logique, pertinent, efficace. Mais la Belgique n'est pas un pays "normal" et sa complexité institutionnelle l'excuse de certaines aberrations. Le couvre-feu, à lui seul, illustre déjà le surréalisme qui sied si bien à notre nation: minuit en Flandre ; 22 h à Bruxelles et en Région wallonne. Ainsi, dans la capitale, il suffit de changer de trottoir à Woluwe-Saint-Lambert au moment du décompte final pour se retrouver à Kraainem et jouir de deux heures de sortie supplémentaire en territoire flamand.

    Si les autorités régionales de la Belgique fédérale n'ont pas réussi à s'entendre sur le concept d'un couvre-feu commun - 23 h, c'était compliqué? - on peut dès lors comprendre qu'une stratégie de communication cohérente soit difficile à mettre en place dans une campagne de vaccination qui se veut pourtant nationale. La semaine dernière, seuls les téléspectateurs des chaînes flamandes ont ainsi eu la surprise de découvrir un spot de 30 secondes les invitant à se faire vacciner contre le coronavirus. Diffusé le 4 janvier, veille du lancement officiel de la campagne de vaccination, le film se voulait mainstream et montrait des familles et des supporters des Diables Rouges en manque de communions festives. Le slogan était univoque: "Je laten vaccineren is het beste plan, zodat het leven straks weer starten kan". Traduction: "Vous faire vacciner est le meilleur plan pour que la vie redémarre bientôt".

    Source et article complet : 

    https://trends.levif.be/economie/politique-economique/vaccin-covid-une-com-a-deux-vitesses/article-normal-1379559.html

     

     


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  • Bruxelles Environnement annonce la mise en place de nouvelles installations afin d’assurer la sécurité de tous. 

    Avec le confinement et la hausse de l’utilisation du vélo dans la Région, la promenade verte fait face à une fréquentation de plus en plus élevée. Conséquence directe: les tensions entre les piétons et les cyclistes s’accroissent par la même occasion, en raison de la vitesse excessive de certains promeneurs à vélo. Les communes d’Auderghem, Woluwe-Saint-Pierre et Woluwe-Saint-Lambert ont d’ailleurs demandé à la Région d’intervenir rapidement, faute de quoi elles interdiraient l’accès aux vélos les week-ends et jours fériés sur leur partie locale de la promenade verte, rapporte Sudpresse.

    Sommée d’agir, Bruxelles Environnement a annoncé des aménagements pour permettre la sécurité de tous les utilisateurs: une signalétique claire va ainsi être mise en place, des installations permettront d’atténuer la vitesse des cyclistes, et des actions de sensibilisation sont prévues. Un parcours alternatif est également en projet, pour permettre d’absorber le flux toujours plus important de cyclistes.

    Source : https://bx1.be/news/la-promenade-verte-bientot-reamenagee-pour-inciter-les-cyclistes-a-ralentir/

    Liens utiles : 

    https://bx1.be/blogs/mobilite/bruxelles-mobilite-64-de-deplacements-cyclistes-en-plus-en-2020/?theme=classic

    https://bx1.be/dossiers-redaction/pourquoi-les-femmes-roulent-elles-moins-a-velo/


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  • Apple Switch pousse-t-il ses clients à signer des abonnements indésirables ?

    Rachetée par un investisseur français en 2020, la société belge en a profité pour élargir ses sources de revenus, au-delà des maigres marges qu'elle dégage sur les iPhone et les Mac. Mais certains clients déplorent la manière avec laquelle certains types d'abonnements sont vendus en magasin. Le patron s'explique mais reconnait "des dérives".

    On le sait, le monde de la distribution est sous pression depuis plusieurs années. L'un des secteurs les plus touchés, c'est la vente de petits appareils électroniques, facilement livrables. La concurrence avec l'e-commerce est féroce. Switch, qui est la plus grande chaîne de 'Apple Premium Resellers' en Belgique, fait partie des victimes. Ces magasins sont les principaux 'revendeurs agréés' de la célèbre marque américaine qui commercialisent des iPhone et des Mac. En quelques années, les bénéfices ont fondu et des alliances malheureuses ont été conclues: les dettes se sont accumulées.

    En 2020, l'entreprise a été rachetée par SFAM, une entreprise française. Une bonne nouvelle pour Switch, comme nous l'explique plus bas son patron. Mais ce rachat explique aussi la frustration de certains clients, et les messages de plainte reçus à la rédaction de RTL info ces dernières semaines. En cause: la vente, "forcée" selon des clients qui nous ont contactés, d'étranges abonnements.

                       Mon fils va changer la vitre de son iPhone, il repart avec deux contrats à 44€/mois

    "Grosse arnaque au magasin Switch au Bastion à Tournai. Ils vendent des contrats qui n’ont absolument rien à voir avec Apple. Mon beau-fils va pour changer l’écran de protection de son iPhone et repart avec deux contrats, il va devoir payer 2 x 44,00€ par mois or il est encore étudiant sans revenu fixe. Scandaleux !", nous a écrit Vanessa via le bouton orange Alertez-nous.

    Au magasin Switch de Liège (Belle-Ile), Christophe a été acheté un iPhone le 17 décembre dernier. "Des vendeurs m’ont manipulé pendant 20 minutes de telle sorte qu’au final, j’ai signé trois contrats de manière numérique (sur une tablette non désinfectée), et trois domiciliations ont été créées sans que je ne puisse relire quoi que ce soit", décrit Christophe. Il a signé sans vraiment le savoir "des contrats pour une assurance (Celside), pour une carte privilège (Cyrana) et pour un site internet à vie (Hubside)". Montant total des abonnements après les premiers mois offerts: 115€/mois ! Notre témoin, qui a annulé le plus rapidement possible ces abonnements et espère ne pas être débité, sait qu'il est en tort: "Je n'aurais pas du signer, mais de telles ventes forcées nuisent à l'image du centre commercial et à celle d'Apple", estime-t-il :

    Apple Switch pousse-t-il ses clients à signer des abonnements indésirables ?Une habitante de la région bruxelloise nous a donné plus de détails sur les méthodes de vente. "J'ai été remplacer la vitre de protection de mon téléphone, au magasin Switch de Woluwe-Saint-Lambert. Tout s'est bien passé. Une semaine plus tard, la boutique me téléphone en disant que j'ai gagné une batterie externe, que je peux venir chercher en magasin, pour me remercier de mes 'achats'. En même temps, parce que soi-disant j'avais été tirée au sort, elle me dit que j'ai aussi droit à une carte privilège, entièrement gratuite, qui me fera bénéficier de 30% de cash back dans plein de boutiques en ligne (Brico, Etam, etc.), et que je dois en profiter vu le confinement qui s'annonce", nous explique cette habitante de Woluwe âgée de 31 ans.

                          Géraldine s'engage pour 70€ par mois sans le savoir

    D'habitude méfiante, Géraldine se laisse convaincre. "Quand j'ai signé sur la tablette, où on ne voyait pas bien le contrat, je lui ai demandé si je m'engageais. C'est à ce moment-là qu'elle m'a dit que ce serait payant après le premier mois gratuit, mais que j'avais 30 jours pour résilier l'abonnement d'un an. Je devais simplement téléphoner ou envoyer un courrier". La vendeuse était "très maligne, elle m'a bien eue". En rentrant chez elle, Géraldine se renseigne sur Cyrana: "Je découvre qu'elle m'a mis le plus gros abonnement à 45 euros par mois, avec plein d'options, et que beaucoup de gens se plaignent d'avoir perdu 400 ou 500 euros car ils ont oublié de se désabonner". Notre témoin n'avait pas remarqué que le contrat signé contenait une domiciliation bancaire, permettant à Cyrana de prélever l'argent tous les mois. "La vendeuse m'avait demandé mon numéro de compte en disant que c'était pour le remboursement des cash back": 

    En analysant le contrat signé par Géraldine, on remarque que les options Evasion (5€ par mois) et Pack Photos (20€ par mois) ont été ajoutées. Montant total des abonnements signés: 70€ par mois !

    Notre témoin a appelé le numéro de Cyrana, où elle a pu faire résilier ses abonnements. Mais elle est également retournée au magasin Switch. "J'étais avec mon mari, et j'ai un peu fait un scandale dans le magasin. Le gérant a fini par accepter d'appeler Cyrana devant moi pour confirmer l'annulation de l'abonnement. Il n'était pas content, il disait que ce n'était pas une arnaque", dit Géraldine. Elle estime que c'en est une au niveau de la manière de présenter et faire signer les contrats, et parce que "les utilisateurs disent sur les réseaux sociaux que les cash back, ils ne les reçoivent jamais". Informations que nous n'avons pas pu vérifier.

    Que disent les magasins Switch ?

    Nous avons contacté celui qui est resté le patron des magasins Switch malgré le rachat, Thierry Janssen. Il confirme que "2020 a été une année mouvementée. Switch était en difficultés financières et a été placée en procédure de redressement judiciaire. Le tribunal de l'entreprise d'Anvers a adjugé l'entreprise à un repreneur, qui est un groupe français, SFAM, qui est devenu l'actionnaire principal et unique de la société Switch". Une solution qui a permis de "sauver 230 emplois environ", même si "on est passé de 28 à 21 magasins".

    SFAM est une entreprise active depuis de nombreuses années au niveau… des assurances pour smartphones et produits mobiles. Une activité devenue visiblement si rentable qu'elle a permis le rachat de magasins qui sont, précisément, le meilleur endroit pour convaincre quelqu'un de souscrire à une assurance. Effectivement, ces produits d'assurance (qui existent sous le nom commercial de Celside en Belgique) ne peuvent être souscrits que via des 'distributeurs' comme, par exemple, les magasins Switch dans le cas qui nous occupe aujourd'hui. Mais SFAM est également derrière les abonnements mensuels Cyrana et Hubside, qui n'ont rien à voir avec le monde de l'assurance. Cyrana est une carte de "privilèges" shopping sous forme de cash back et de bons de réduction ; Hubside est un site web à concevoir soi-même, sur base de modèles.

    Le rachat était-il donc accompagné d'une obligation de (proposition) de vente des services SFAM ? "Tout d'abord, il faut savoir que si la société Switch était en procédure de redressement judiciaire, ce n'est pas pour rien. Nous sommes un APR, un Apple Premium Reseller. On est un mini Apple Store, et Apple veut donc que l'expérience client soit d'un certain niveau. On est également mono-marque: nous ne vendons que des produits Apple, contrairement à MediaMarkt, par exemple, qui vend de tout". Ce concept a un gros défaut: les marges sur les produits Apple sont faibles, or il faut de beaux magasins dans de beaux endroits. "Nous sommes donc condamnés à aller chercher des marges supplémentaires dans les accessoires ou les protections d'écran", et ailleurs. "Le repreneur (SFAM) s'est dit, et je partage son point de vue, qu'il fallait vendre davantage de services pour habiller un produit".

    Ce qui explique donc les propositions de vente des assurances, des cartes privilèges et des sites web personnels. Thierry Janssen estime que ces propositions ont du sens pour le client, tout en admettant que certaines d'entre elles ne s'adressent pas à tout le monde.

    Source et article complet : https://www.rtl.be/info/vous/temoignages/cyrana-hubside-le-revendeur-de-produits-apple-switch-pousse-t-il-ses-clients-a-signer-des-abonnements-indesirables--1270276.aspx

     


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  • La campagne de vaccination contre le nouveau coronavirus a été symboliquement lancée en Belgique mais démarrera effectivement le 5 janvier. ©Photo News
    Source : L'Echo
     

    Les premiers vaccins contre le Covid-19 ont été administrés en Belgique, et la campagne officielle démarre le 5 janvier. Comment cela va-t-il se passer? Faudra-t-il être vacciné pour voyager? Nous répondons à vos questions au sujet de cette mégacampagne de vaccination.

    Les premiers vaccins anti-Covid sont disponibles pour les Belges. La campagne de vaccination a démarré symboliquement ce 28 décembre. Le but des autorités: vacciner 70% de la population, ce qui permettrait de rompre la transmission du virus. Mais que sait-on de ces produits, développés en en temps record? Ne sont-ils pas dangereux? Comment va se dérouler la campagne de vaccination?

    Qui, quand, où?

     • Pourra-t-on vacciner toute la population? Oui, mais pas tout de suite. 22 millions de vaccins ont déjà été commandés par la Belgique, 2 doses sont nécessaires pour la majorité des produits développés. Ils arriveront au compte-gouttes. Il faudra sans doute presque un an pour que soient vaccinés tous ceux qui le souhaitent. L'injection sera gratuite et non obligatoire dans notre pays.

    • Qui pourra se faire vacciner rapidement? Il y a plusieurs groupes prioritaires qui ont été définis. La campagne s'adressera d'abord au personnel et aux pensionnaires des maisons de repos et de soins. Ensuite, les soignants des hôpitaux et personnel de santé de première ligne pourront recevoir leur première injection. L’ensemble du personnel des soins de santé suivra. Seront ensuite concernés les plus de 65 ans, les plus de 45 ans présentant des comorbidités et les personnes dont la fonction économique ou sociale est essentielle, etc. Ces différentes phases pourront se chevaucher. Les personnes n'appartenant pas à ces groupes prioritaires devront probablement attendre l'été.

    • Et les enfants? Les enfants ne font pas partie des groupes prioritaires. Ils développent peu de symptômes et il n'y a pas d'information claire sur leur rôle en tant que vecteur de la maladie. En Angleterre, l'indication est à partir de 16 ans. Pfizer a déjà fourni des données interprétées sur des jeunes à partir de cet âge. On devrait disposer de davantage de données, de la part des firme qui doivent lancer des études sur ce groupe, le jour où ils entreront en ligne de compte dans le plan de vaccination belge.

    • Les femmes enceintes peuvent-elles se faire vacciner? Les femmes enceintes sont exclues des études cliniques même si certaines d'entre elles entament une grossesse en cours d'étude. Parmi celles issues des groupes prioritaires (personnel soignant), une grossesse peut être envisagée une fois le vaccin administré. Ces cas permettront d'accumuler des données pour optimaliser les indications.

     • Quand pourra-t-on être vacciné? La campagne a commencé symboliquement le 28 décembre, dans quelques maisons de repos, avec les vaccins de Pfizer/BioNTech. Elle démarrera effectivement le 5 janvier. Les doses commandées arriveront progressivement. On attend dans un premier temps 600.000 doses, avant la fin février. Deux doses, injectées à 21 jours d'intervalle, sont nécessaires. 300.000 personnes pourraient donc être vaccinées très rapidement. Il faudrait environ un mois pour vacciner dans les maisons de repos (100.000 individus). L’avis sur le vaccin de Moderna est fixé au 6 janvier. Ce produit devrait donc être disponible en Belgique quelques jours plus tard. Il est déjà administré aux Etats-Unis.

    Les 4 millions de Belges qui constituent les groupes prioritaires pourraient être vaccinés pour la mi-2021. Les autres personnes pourront recevoir leur injection sans doute dans la seconde moitié de l'année, mais tout dépend des autorisations et de la disponibilité des différents produits commandés.

    • Combien coûtera le vaccin? Il sera gratuit pour la population, vu qu'il sera remboursé par l'assurance-maladie. Mais les Etats devront évidemment payer les doses achetées. Des contrats tenus secrets ont été conclus en ce sens par l'Union européenne, suite auxquels les pays décident ou pas d'acheter un vaccin. Plusieurs vaccins seront visiblement vendus par les firmes à des prix relativement faibles. Les vaccins à ARN messager sont globalement plus coûteux. "Tout cela est moins cher qu'un PCR, qui coûte 46 euros", précisait Jean-Michel Dogné, directeur du département de pharmacie de l'Université de Namur et membre du comité de sécurité mondial des vaccins de l'OMS.

    D'après le tableau publié sur Twitter par la secrétaire d'État au Budget Eva De Bleeker, puis enlevé, les prix affichés par dose s'élèvent à 1,78 euro pour le vaccin AstraZeneca, 8,50 dollars pour Johnson & Johnson, 7,56 euros pour Sanofi/GSK, 12 euros pour BioNTech/Pfizer, 10 euros pour Curevac et 18 dollars pour le vaccin Moderna. Selon ce document, l'État belge a budgété 279.120.190 euros à cet effet.

    À savoir avant de se faire vacciner contre la Covid

    • Où va-t-on vacciner les Belges? Les travailleurs et résidents des maisons de repos seront vaccinés sur place. Le personnel des hôpitaux aussi. Pour le public ne dépendant pas des centres de soins de santé, la stratégie n'est pas encore définitivement arrêtée.

    • Les entreprises pourront-elles organiser des campagnes de vaccination à destination de leurs employés sur le lieu de travail? Pour l'instant, ce n'est pas exclu, à condition de passer par la médecine du travail.

    • Un employeur peut-il obliger ses travailleurs à se faire vacciner? Non, la vaccination contre le Covid est libre et non obligatoire en Belgique et un patron ne peut en aucun cas déroger à ce principe de liberté. Il peut par contre informer et sensibiliser...

    Que va changer le vaccin anti-Covid?

    • Quelle sera la durée de l'immunité offerte par le vaccin? On n'en sait actuellement rien, par manque de recul. Ce qui a déjà été constaté, c'est que les personnes vaccinées présentent plus d'anticorps que les personnes infectées "naturellement" par le virus, ce qui donne l'espoir que leur immunité soit plus importante que celle qui s'installe après une contamination. Devra-t-on se faire vacciner chaque année? On n'en sait encore rien. Tout comme on ne sait pas si une personne vaccinée pourra transmettre le virus à un non-vacciné.

    • Que sait-on de l'efficacité de ces vaccins? Les vaccins induisent habituellement une réponse immunitaire égale, voire supérieure à l'immunité naturelle. Le vaccin Pfizer/BioNTech, déjà disponible, affiche une efficacité de 95%. Les autres firmes ont déjà avancé des pourcentages de protection importants, très prometteurs, dont 94% pour Moderna.

    • Le vaccin permettra-t-il de revivre normalement? Un jour, probablement, mais pas tout de suite. 2021 devrait être une "année de transition", lors de laquelle une série d'activités devraient reprendre progressivement. Dès que la population à risque sera vaccinée et que le taux de décès aura diminué nettement, les Belges retrouveront déjà plus de liberté. Mais les gestes barrières, le port du masque et les règles d'hygiène seront conservés dans une certaine mesure pendant plusieurs mois encore.

    • Faudra-t-il un certificat de vaccination pour voyager? La compagnie australienne Qantas a déjà annoncé que tous ses passagers devraient être vaccinés pour embarquer. D'autres pays pourraient aussi l'exiger. Cela n'a rien de neuf, les voyageurs savent que certains vaccins sont déjà imposés pour entrer dans certains pays. Et désormais, l'idée d'un e-certificat de vaccination émerge, de même que des projets de passeport sanitaire électronique. La Belgique prépare un passeport vaccinal, disponible en ligne.

    Ce n'est pas aux compagnies aériennes et aux organismes de voyage de rendre la vaccination et sa preuve obligatoires. C'est aux Etats eux-mêmes à en décider, comme il y a des obligation de tests Covid négatif pour entrer dans certains pays. Dans ce cadre, les compagnies peuvent collaborer en assurant un certain contrôle sur les passagers.

    Que pourrait-on craindre?

    • Quid des effets secondaires? La plupart des vaccins qui sont au dernier stade de développement s'appuient sur des plateformes et des principes connus et maîtrisés depuis longtemps. Historiquement, la quasi-totalité des effets indésirables des vaccins apparaissent dans les six semaines suivant la vaccination. Or, les participants des essais cliniques de Pfizer/BioNTech et de Moderna ont été suivis pendant deux mois, sur demande de l'Agence américaine des médicaments (FDA).

    Pfizer et Moderna ont rapporté que, dans les deux mois suivant l'injection de la seconde dose, aucun effet indésirable "grave", mettant la vie du patient en danger ou entraînant hospitalisation ou invalidité, n'était apparu. Pas de réactions allergiques dangereuses (chocs anaphylactiques) ou des problèmes neurologiques, donc.

    Par contre, on a relevé de la fatigue, des maux de tête, des courbatures, des douleurs dans les articulations, des rougeurs et douleurs au niveau de la piqûre, surtout après la seconde dose. Ces effets, bien connus dans le domaine de la vaccination, ont été résolus sans hospitalisation.

    Les effets secondaires du vaccin de Pfizer/BioNTech

    • Des réactions localisées à l’endroit de l’injection (84,1%)
    • De la fatigue (62,9%)
    • Des maux de tête (55,1%)
    • Des douleurs musculaires (38,3%)
    • Des frissons (31,9%)
    • Des douleurs articulaires (23,6%)
    • De la fièvre (14,2%).
      Ces éléments sont repriss dans le rapport de la FDA sur son études des données de Pfizer.
    Autre élément rassurant, le nombre de sujets supérieur à ce qui se pratique habituellement dans les études cliniques. "Aucun effet secondaire grave n'a été rapporté. Or, plus on met de sujets dans une étude, plus on diminue la probabilité de non-détection d’effets secondaires graves", selon Nicolas Dauby, infectiologue au CHU Saint-Pierre.

    • Les mutations du virus ne risquent-elles pas de rendre inefficaces les vaccins? 185 mutations du nouveau coronavirus ont déjà été répertoriées, ce qui s'avère peu important par rapport à d'autres virus. Cette faible diversité génétique du SARS-CoV-2 (severe acute respiratory syndrome coronavirus 2) est un atout pour l'industrie pharmaceutique parce que l'on sait qu'il y a une corrélation entre la faible diversité d'un virus et la haute efficacité d'un vaccin.

    Le variant apparu en Grande-Bretagne récemment, qui semble être responsable d'une transmission plus importante que les souches précédentes, fait l'objet d'étude de la part des firmes qui ont développé des vaccins afin de juger l 'efficacité de ceux-ci face à cette mutation.

    • Faut-il craindre les adjuvants? Le rôle et l'utilisation des adjuvants, comme les sels d'aluminium, sont bien connus et maîtrisés. L'adjuvant permet de diminuer la dose d’antigène nécessaire par injection en augmentant son efficacité. Aucun vaccin n'a jamais été retiré du marché à cause d'un adjuvant.

    • Comment va-t-on conserver les vaccins à -70°? Tous les candidats ne se conservent pas à -70° comme celui de Pfizer/BioNTech. Les firmes pharmaceutiques se chargeront de transporter le produit à température adéquate jusqu'à l'endroit de stockage désigné. Ensuite, le vaccin pourra, pendant quelques jours, reposer dans un frigo à une température moins froide mais qui ne changera pas ses caractéristiques, jusqu'à l'injection.

    Comment ça marche?

    Tous les vaccins qui arrivent au terme de la phase de développement ne s'appuient pas sur la même plateforme et c'est une chance. Selon ses atouts et ses inconvénients, chaque produit pourrait se voir destiné à un public spécifique.

    • Les vaccins à ARN messager. Plusieurs firmes proposent un candidat basé sur l’ARN messager, une "molécule qui fournit l’information génétique nécessaire à la production des protéines contre lesquelles l’hôte doit s’immuniser", explique Muriel Moser, biologiste de l'ULB et auteur du livre "La vaccination - Fondements biologiques et enjeux sociétaux". La Belgique a commandé les vaccins de Pfizer/BioNTech, Moderna et Curevac qui s'appuient sur ce principe. Celui-ci est connu mais n'a encore jamais abouti à un vaccin distribué pour l'homme. Son atout: il ne nécessite pas de culture et peut donc être produit très rapidement.

    • Les vecteurs viraux. Ils utilisent comme support un autre virus pour pénétrer dans les cellules qui fabriquent alors une protéine typique du Sars-Cov-2. Le système immunitaire développe les anticorps qui neutralisent cet antigène. Le vaccin d'AstraZeneca et de l'université d'Oxford utilisant un adénovirus de chimpanzé non réplicatif a été commandé par la Belgique, tout comme celui de Johnson & Johnson basé sur un adénovirus responsable du rhume.

    • Les vaccins à virus inactivé ou atténué. Ils injectent un virus de culture inactivé ou atténué afin de provoquer une réponse immunitaire contre le véritable virus. Plusieurs vaccins en développement utilisent ce principe mais aucun n'a été commandé par la Belgique.

    • La protéine recombinante. Le vaccin envoie dans l'organisme une protéine S semblable à celle du virus pour stimuler l'apparition d'anticorps qui vont neutraliser la protéine S du véritable virus et empêcher celui-ci de pénétrer dans les cellules. C'est la technique du vaccin développé par Sanofi et GSK.

     

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  • Que tout aille bien en 2021

     

     

    Que tout aille bien en 2021

     

     

    Que tout aille bien en 2021

     

     


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  • Les vegans et GAIA vous remercieront mais pas votre estomac ni vos invités. Oups, votre invité.

    Au menu de Noël ce soir !


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  • CAMELEON - C’EST PARTI POUR LA RELANCE ! LE PERSONNEL A DIT OUI.

    Les magasins CAMELEON de Woluwe et de Genval (exploités par NV Famous Clothes, déclaré en faillite le 25 novembre dernier) rouvriront bientôt.

    La proposition de reprise du fonds de commerce de Famous Clothes SA, dans laquelle les employés participent, a été approuvée par la curatelle le 21 décembre 2020 lors d’une ultime offre.

    Après l’aveu de faillite, un plan de reprise a vu le jour avec la directrice générale, Pascale Switten, ainsi que deux jeunes entrepreneurs bruxellois, Thibaut Dehem (fondateur de l'agence digitale 87seconds) et Alexis Malherbe (gérant du Wolf food Market).

    BONNE NOUVELLE!  Cameleon rouvrira bientôt.

    La formule est inédite, une première en Belgique, où les employés s’associent au projet pour relancer l’activité. Les candidats repreneurs ont travaillé avec Jean-Olivier Collinet (directeur de l’asbl JobYourself) sur une formule innovante, qui permet aux salariés de travailler temporairement chez CAMELEON tout en conservant leur allocation de chômage. Le fruit de leur travail est ensuite réinvesti dans la société en échange d’une participation comme actionnaire jusqu'à 24 % des actions. Ce projet pilote de JobYourself, baptisé "Reload Yourself", a pour objectif de permettre la reprise d'entreprises par les salariés.

    Après des jours intenses de négociation, et grâce à l'attitude constructive des curateurs, la résilience du personnel s’est révélée gagnante et les partenaires sont parvenus à un accord. Une réunion clé de concertation entre le personnel et la curatelle a permis de pencher la balance dans le sens du projet des repreneurs, et d’ainsi offrir une sécurité d'emploi à quelques 80 membres du personnel. Le projet de reprise est également soutenu par Hub.Brussels avec une équipe d'experts (juridiques, RH, financiers), qui mise sur le succès de cette aventure pour inspirer d'autres repreneurs.

    BONNE NOUVELLE!  Cameleon rouvrira bientôt.

    Les membres du personnel et les repreneurs tiennent également à remercier le fondateur de CAMELEON, Jean-Cédric van der Belen ainsi qu’Augustin Wigny le dernier administrateur-délégué de Famous Clothes. Non seulement pour avoir créé une marque forte avec un ancrage bruxellois, mais aussi pour leur soutien et leur aide à la relance de l'entreprise.

    Dans un premier temps, la nouvelle équipe se concentrera sur la relance opérationnelle des magasins. Dans le courant de l'année 2021, l'objectif est d'élargir le concept dans d’autres secteurs d’activités (alimentation, événementiels, etc.), créant ainsi de nouveaux emplois dans la région.

    "Le projet s'appuie sur les idées et les valeurs d’origines de CAMELEON, avec l’ambition de revenir au-devant de la scène de l'économie régénérative, locale et circulaire de Bruxelles. La localisation et la valeur du magasin de Woluwe, premier bâtiment commercial européen éco-construit, en font un endroit idéal à Bruxelles pour découvrir les nouveautés, faire des achats intelligents et consommer de manière responsable dans un environnement créatif", explique la directrice générale Pascale Switten.

    Source : https://www.cameleon.be/fr/article/reopening-soon-S51?utm_campaign=cam-yymm-campaignname&utm_medium=email&utm_content=adcontent&utm_source=newsletter&actId=ebwp0YMB8s3OjwPAnHZLVyIHGOZbSTQELyr5FYI13OrlTqZx5LHDS6ZSaaR5RIUb&actCampaignType=CAMPAIGN_MAIL&actSource=500741

     

     


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  • La commune de Woluwe-Saint-Lambert va aménager d’ici 2022 un nouveau parc sur l’espace boisé de l’avenue des Îles d’Or, confirme l’échevin de l’environnement Grégory Matgen (DéFI) à Bruzz.

    Un nouveau parc va faire son apparition près de Roodebeek

    Un nouveau parc va faire son apparition à Woluwe-Saint-Lambert, non loin du Woluwe Shopping Center et de la station de métro Roodebeek. Le parc sera créé dans l’espace boisé (photo) de l’avenue des Îles d’Or, rapporte à Bruzz l’échevin de l’environnement Grégory Matgen (DéFI), en charge du projet avec l’échevin des espaces verts Philippe Jaquemyns (DéFI).

    Le site d’environ un hectare sera notamment composé d’un terrain de jeu et d’un fossé qui fera référence au tracé naturel du ruisseau Roodebeek qui coulait autrefois dans le quartier. En outre, l’avenue des Îles d’Or deviendra une rue cyclable. Le projet, qui a été présenté mercredi aux riverains, doit voir le jour d’ici 2022.

    Une ferme du XIVe siècle

    Le terrain appartenait en partie à la commune de Woluwe-Saint-Lambert, et en partie à bpost. La commune a donc racheté le reste du terrain à bpost pour pouvoir transformer cet espace en parc public. Elle doit encore recevoir le feu vert de la Commission des Monuments et Sites, vu la protection du site environnemental.

    Toujours selon Bruzz, le parc pourrait prendre un nouveau nom en référence à la ferme Hof ter Cauwerschueren, qui se trouvait sur ce domaine et dont l’histoire remonte au XIVe siècle. La ferme, qui a servi de boulangerie et de porcherie, était en fonction jusqu’en 1911, et est aujourd’hui détenue par le privé.

    Gr.I. – Photo : capture Google Street View

    Source : Bx1


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  • Les restaurants belges qui ont le meilleur rapport qualité prix d'après le Guide Michelin 

    Le Guide Michelin a dévoilé ce lundi 14 décembre la liste des restaurants primés Bib Gourmands pour la Belgique et le Luxembourg. Ce palmarès récompense les établissements où les clients peuvent retrouver la qualité et des prix raisonnables.

                                                                                                                     PAR AUDREY MORARD. 

    Le Guide Michelin ne chôme pas, même en période de coronavirus. Le plus célèbre des guides culinaires continue de récompenser les restaurants. Ce lundi 14 décembre a été dévoilé la liste des restaurants ayant reçu le prix Bib Gourmands. Avec ce titre, le Guide Michelin couronne les restaurants où trouver le meilleur qualité prix dans votre assiette. 

    À Bruxelles,

    Le "Coq en pâte" honoré par le Michelin

    Le Guide Michelin a récompensé deux établissements : Le Tournant à Ixelles et Le Coq en Pâte à Woluwe-Saint-Lambert qui propose jusqu'au 17 décembre en take-away un menu à 4 services à 30 euros, où vous avez le choix entre la lotte rôtie en chapelure de culatello di zibello et sa crème de chanterelles jaunes et légumes d’hiver aromatisés ou les noix de veau de Corrèze cuit en basse température acccompagnées de mini mozzarella di bufala et tomates et une caponata d’aubergines et pignon. 

    Source : 

    https://sosoir.lesoir.be/les-restaurants-belges-qui-ont-le-meilleur-rapport-qualite-prix-dapres-le-guide-michelin?_ga=2.207867665.240356550.1607982253-1849480144.1472670977&fbclid=IwAR2blVZy575eU97nv9HqxSe858O5WYquwh8VpYm1LhG118f3pVawrHaPXCo

     
                                                                       Vu aussi dans le Guide Michelin 
     
                                                                               "De Maurice à Olivier"

    Le "Coq en pâte" honoré par le Michelin

     
    L'avis du Guide MICHELIN
     

     

    De père en fils, le flambeau est passé de Maurice à Olivier. Son style culinaire ? La tradition française enrichie d'influences méridionales, le tout joliment cuisiné... Détail amusant : la maison fait aussi marchand de journaux – une association originale.

    Source : 

    https://guide.michelin.com/be/fr/bruxelles-capitale/woluwe-saint-lambert/restaurant/de-maurice-a-olivier

     


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  •  Fermeture temporaire de l'avenue Jean Monnet à hauteur du numéro 11

    A la demande de la police, fermeture temporaire de l'avenue Jean Monnet à hauteur du numéro 11 en raison d'un affaissement de voirie. Une inspection approfondie des lieux sera réalisée dès lundi par les services communaux. Les garages des immeubles restent accessibles.

     

    Eh oui, construire des immeubles sur un terrain spongieux comme celui-là n'est pas l'idéal puisqu'il était de notoriété publique que la qualité du sous-sol était désastreuse. Avant de devenir une manne financière pour les promoteurs immobiliers, cette décharge publique polluée et sillonnée de nombreuses galeries souterraines est devenue par la suite ce merveilleux site semi-naturel du Val d'or que tant de riverains ont arpenté avec bonheur il y a de trop nombreuses années. Pour ceux qui s'en souviennent, on y a aussi enfoui les restes du magasin l'Inno après son incendie. Ce terrain instable n'était pas le meilleur endroit pour y ériger des immeubles mais l'intérêt financier (entre autre pour la commune) était trop tentant.

    Y a-t-il un lien entre l'affaissement récent de la voirie et l'historique de ce terrain sablonneux, ou est-ce simplement un problème de canalisation d'eau abimée ? L'avenir nous le dira.

    Un peu d'histoire via ces liens :

    https://www.lesoir.be/art/le-val-d-or-roumanise-du-beton-pour-unique-montagne-les_t-19900316-Z02GMJ.html

    http://www.reflexcity.net/bruxelles/reserves-naturelles/plateau-du-val-d-or

    http://woluwe-saint-lambert.eklablog.com/wolu1200-le-site-semi-naturel-du-val-d-or-quelles-perspectives-d-aveni-a182067406

     http://woluwe-saint-lambert.eklablog.com/woluwe-saint-lambert-tes-espaces-verts-se-transforment-en-desert-a84523126

    http://woluwe-saint-lambert.eklablog.com/wolu1200-un-projet-immobilier-gigantesque-qui-mise-parait-il-sur-le-ve-a117594518

    http://woluwe-saint-lambert.eklablog.com/woluwe-saint-lambert-le-val-d-or-va-t-il-etouffer-le-chemin-des-deux-m-a106863306


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  • Les Cliniques Universitaires Saint-Luc lancent leur “trajet patient intégré et informatisé”

    Les Cliniques Universitaires Saint-Luc, à Woluwe-Saint-Lambert, amorcent ce week-end un pas supplémentaire dans la digitalisation. Le centre hospitalier lance ainsi son TPI2, soit un “trajet patient intégré et informatisé”, rapporte Le Soir.

    Concrètement, il s’agit d’une forme avancée de dossier médical informatisé. “À l’heure actuelle, nous travaillons avec 400 applications différentes (pour le dossier médical, la prise de rendez-vous, le courrier, le suivi des patients, etc). Suivre le parcours du patient en interne est une gageure. La nouvelle plateforme digitale, fournie par la société américaine Epic, un des leaders mondiaux du secteur, va remplacer ces 400 applications. Tout sera centralisé dans une seule base de données“, indique à nos confrères Renaud Mazy, l’administrateur délégué des Cliniques.

    Néanmoins, cette digitalisation “ne remplacera pas le contact humain. Le patient aura la même expérience, sauf que son trajet sera facilité, et qu’on ne lui demandera plus cinq fois les mêmes infos“. Cela aura également un impact positif sur le sécurité du patient, puisque les soignants pourront consulter tous les actes réalisés en amont, les résultats d’analyse, les médicaments prescrits, etc.

    Ces données seront stockées sur des serveurs protégés, en interne. Le patient aura également accès à son dossier, via une application “Mon Saint-Luc”.

    En cette période de crise sanitaire, le programme permettra également de gérer les flux internes et l’occupation, et donc d’anticiper une saturation, par exemple.

    Pour financer ce TPI2, les Cliniques ont déboursé la somme de 65 millions d’euros, quasiment totalement sur fonds propres. “Un investissement stratégique, à quinze ou vingt ans“, commente l’administrateur.

    Un projet bien plus large

    Cette digitalisation du trajet patient fait partie d’un projet plus large mené par les Cliniques Universitaires Saint-Luc. Après ce TPI2, nouvelle colonne vertébrale digitale, “quand vous avez reprensé virtuellement l’hôpital, vous avez la capacité de le reconstruire physiquement“, indique Renaud Mazy.

    En effet, des travaux importants, à hauteur de 550 millions d’euros, débuteront dans les prochaines années sur le campus, avec la construction d’un nouvel institut de psychiatrie, et de l’Institut Roi Albert (pour l’oncologie et l’hématologie), l’an prochain. Le chantier sera suivi par celui la nouvelle tour d’hospitalisation, dont l’inauguration est prévue en 2025 ou 2026.

    ArBr – Photo : Belga (illustration)

    Source : https://bx1.be/news/les-cliniques-universitaires-saint-luc-lancent-leur-trajet-patient-integre-et-informatise/


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    Un nouveau centre de testing, dans des bâtiments communaux inoccupés

    Un nouveau centre de testing sera disponible, dès jeudi, à Woluwe-Saint-Lambert. S’il sera géré par le laboratoire Eurofins-Labo VanPoucke, il sera situé au sein de bâtiments communaux inocccupés, rue de l’Athénée royal.

    Cette initiative offre aux habitants un centre de test de proximité, qui effectue des analyses dont les résultats sont disponibles dans un délai court, d’environ 48 heures“, indique la commune. Le centre pratiquera des tests PCR, sur rendez-vous.

    Pour ce nouveau centre, c’est la technique du drive-in qui sera privilégiée, avec un testing effectué directement dans la voiture.

    Ce nouveau laboratoire est accrédité par Sciensano afin de procéder à ces tests.

    ArBr – Photo : Google Street View

    Source : https://bx1.be/news/woluwe-saint-lambert-un-nouveau-centre-de-testing-dans-des-batiments-communaux-inoccupes/?fbclid=IwAR2YyUq5JciHtyYPfr8Cj4ZGazO0zKdjmqhj1kEcavD22za0LM-UH7ECxZs#.X6qTsp4UspA.facebook

    Lien utile : 

    https://fr.woluwe1200.be/2020/11/10/depistage-du-covid-19-a-woluwe-saint-lambert.html?fbclid=IwAR1ZgrYwjPXKNczTd-zd4wk_1F-kywgzoX_s4jAUFNaqaknE6AmCLYWxQQQ


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  • La société-mère de Cameleon, l'enseigne de vente de vêtements, fait faillite selon L'Echo

     

    Les magasins de vêtements Cameleon se déclarent en faillite

     

    Famous Clothes, la structure qui chapeaute les deux comptoirs privés Cameleon (à Genval et Woluwe-Saint-Lambert), vient de faire aveu de faillite, annonce vendredi L'Echo sur son site internet. L'entreprise, qui emploie encore 110 personnes, selon le journal économique, n'a pas été épargnée par la crise sanitaire. La deuxième vague de l'épidémie et les nouvelles mesures de confinement qui l'accompagnent semblent avoir été le coup de grâce.

    Selon L'Echo, Cameleon a réalisé en 2019 un chiffre d'affaires de 21 millions d'euros. Les pertes s'élevaient à plus de 700.000 euros et la société fait face à un endettement de 7 millions d'euros. Le concept Cameleon tourne autour de ventes de vêtements de marque à prix réduits exclusivement réservées à ses membres.

    Le tribunal pour l'entreprise devra se prononcer dans les prochaines semaines. Le temps, peut-être, de trouver une solution qui pourrait sauver Cameleon.

    Source : https://www.rtl.be/info/belgique/economie/la-societe-mere-de-cameleon-l-enseigne-de-ventes-de-vetements-fait-faillite-selon-l-echo-1256993.aspx


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  • La ventilation : l'autre manière de combattre la covid

    Ventilez, ventilez, ventilez

    Les scientifiques n'ont pas attendu l'automne pour se pencher sur le sujet. Ces scientifiques ont tenté de déterminer à quelle vitesse les molécules virales du Sars-Cov-2 expirée par un individu infecté se propagent dans un espace clos et contaminent les autres personnes en présence. En pleine résurgence de cas de Covid-19 un peu partout en Europe, le sujet de la ventilation devrait en effet figurer au premier plan des préoccupations. Cela, d'autant que la voie de contamination par microgouttelettes, ou par voie aéroportée, longtemps controversée, est à présent avérée. Certains gouvernements, comme l'Allemagne, l'ont bien compris. Angela Merkel avait signalé vouloir mettre la problématique de la ventilation au centre de ses préoccupations. Selon Nathan Clumeck, professeur émérite en maladies infectieuses à l'ULB, on ne parle pas suffisamment de l'importance d'une bonne ventilation. Vu la situation actuelle, il faudrait prévoir d'installer des appareils de filtration d'air dans certains lieux comme les salles de sport, restaurants, salles d'entreprise, bureaux partagés, classes d'école...

    L'arrivée d'un nouveau ministre de la Santé et la nomination d'un commissaire Corona pourraient être l'occasion de remettre le sujet à l'avant-plan.

    Source : La Libre Belgique

    Article complet à découvrir dans La Libre de ce vendredi 9 octobre 2020

    La ventilation : l'autre manière de combattre la covid


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  • Ce samedi après-midi, un spectacle surprenant s’est offert aux yeux des usagers du Boulevard de la Woluwe : près de quarante moutons ont traversé l’artère pour rejoindre le moulin à vent de Woluwe-Saint-Lambert.

    Des moutons traversent le Boulevard de la Woluwe, vers le moulin

    Le but de l’opération était de conduire le troupeau, qui paisse habituellement à Zaventem, à l’espace situé devant le moulin à vent de Woluwe, avenue Mounier.

    Nous avons défriché tout le champ au pied du moulin, et nous y avons planté de l’engrais vert : tournesol, phacélies, moutarde, etc“, relate David Waiengnier, animateur au fournil de la ferme Hof ter Musschen, où se trouve le moulin, “Maintenant qu’il faut couper cet engrais vert, on s’est dit que ce serait chouette de le faire faire par des moutons, qui viendront en même temps engraisser le champ avec leurs déjections“.

    Et ces ‘tondeuses vivantes’ sont une vraie solution, car “c’est beaucoup mieux que l’engrais vert soit mangé par un animal, et pas broyé par un tracteur, car les moutons apportent un micro-organisme, et n’abîment pas la terre“, explique Philippe Schoymans, collaborateur au fournil et coordinateur de ce projet, “on parle ici de pâturage à haute densité, à court terme, qui joue sur la concurrence entre les animaux : avec quarante bêtes, ils ont faim, et mangent vite car ils ont peur que tout soit mangé“.

    Les moutons resteront deux jours sur ce champ, le temps de consommer tout l’engrais vert. “En début de semaine, ils retourneront dans un autre champ“, ajoute Philippe Schoymans.

    Des moutons traversent le Boulevard de la Woluwe, vers le moulin

    Un troupeau sur le Boulevard de la Woluwe

    En milieu d’après-midi, le troupeau a traversé le Boulevard de la Woluwe. “Ils se trouvent habituellement de l’autre côté du boulevard, et on donc dû demander de l’aider pour les faire marcher d’une prairie à une autre en traversant la route. On a aussi prévenu la police, puisque le boulevard a été bloqué quelques instants, même si ça ne dure pas très longtemps. Ce n’est pas beaucoup plus long que de faire traverser un groupe d’écoliers !“, explique Philippe Schoymans.

    Les moutons ont traversé le boulevard de la Woluwe, pour remonter l’avenue Hippocrate, puis ont pris un sentier passant devant le four à pain pour atteindre le champ devant le moulin à vent.

    Les moutons appartiennent à un autre agriculteur, “un fermier du coin qui collabore à notre projet. Avant, c’était quelque chose de courant, de laisser paisser les bêtes sur les champs pour les préparer au semis, mais cela ne se fait plus beaucoup, car peu d’agriculteurs ont encore des bêtes. Ici, notre collègue nous prête ses moutons, et nous on les nourrit. C’est du win-win pour nous tous“, se réjouit Philippe Schoymans, du fournil.

    Des moutons traversent le Boulevard de la Woluwe, vers le moulin

    Un projet de céréales anciennes

    Dès que le troupeau aura consommé l’engrais vert, et fertilisé plus encore le sol, “des céréales anciennes seront semées sur le champ, au mois de novembre : cinq à six variétés différentes, afin de voir lesquelles seront les plus adaptées au sol. L’idée sera ensuite qu’elles passent au moulin, puis au four pour en faire du pain, avec une filière entièrement locale, où tout sera fait sur place“, explique David Waiengnier, du fournil.

    Les céréales seront récoltées l’été prochain.

    Des moutons traversent le Boulevard de la Woluwe, vers le moulin

     

    Des moutons traversent le Boulevard de la Woluwe, vers le moulin

     

    Des moutons traversent le Boulevard de la Woluwe, vers le moulin

    Source : https://bx1.be/news/woluwe-saint-lambert-des-moutons-traversent-le-boulevard-de-la-woluwe-vers-le-moulin/?fbclid=IwAR2aefo1iT7VZeoLv9R2UpNQ7WV1tziChA9dsVx9Kik9MrjlHNnCfikbWzI

    Photos : Philippe Jaquemyns, Cécile Arnould, Sylviane Wilante

     
     

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  • CORONALERT EST UNE APP MOBILE GRATUITE ET CONVIVIALE

     

    Elle peut :

    • vous avertir si vous avez été en contact étroit avec une personne testée positive au coronavirus, sans que vous sachiez qui, où et quand ;
    • vous conseiller quant aux étapes à suivre pour vous protéger et protéger les autres ;
    • avertir anonymement les autres utilisateurs de l’app avec lesquels vous avez eu un contact étroit , si vous avez été testé positif au coronavirus.

    AVEC CORONALERT, VOUS VOUS PROTÉGEZ ET PROTÉGEZ LES AUTRES

    Avec qui avez-vous été en contact avant-hier ? Et les jours précédents ? Quelles personnes se trouvaient autour de vous dans le train ? Ou dans le bus, dans le métro, dans un café ou sur la plage ? Souvent, vous ne les connaissez pas personnellement. Or, tout contact étroit représente un risque.

    C’est pourquoi Coronalert aide à suivre vos contacts beaucoup plus étroitement, sans aucun effort de votre part. Et ce de façon totalement anonyme. Vous préservez ainsi à la fois votre santé et votre vie privée.

    Lorsqu’un utilisateur de l’app est contaminé par le coronavirus, il peut faire envoyer une alerte à tous les contacts étroits qu’il a eus au cours des derniers jours. Cette méthode est plus rapide que la détection classique des contacts assurée par le centre de contact . Elle fonctionne également pour les contacts que vous ne connaissez pas personnellement.

    La rapidité est importante pour vous protéger et pour protéger vos proches. Nous pouvons ainsi suivre le virus de plus près.

    LES SIX RÈGLES D’OR POUR SE PROTÉGER EN PROTÉGER LES AUTRES GARDENT TOUTE LEUR IMPORTANCE :

    • Respectez la distance sociale – au moins 1,5 mètre entre vous et les autres.
    • Lavez-vous méticuleusement et fréquemment les mains.
    • Suivez les règles sur les rassemblements. Portez un masque bucco-nasal là où il est obligatoire et aussi si vous ne pouvez pas maintenir une distance sociale.
    • Pratiquez vos activités de préférence à l’extérieur
    • Pensez aux personnes vulnérables
    • Limitez vos contacts rapprochés.
    • Installez Coronalert et suivez les recommandations de l’appli.

    TÉLÉCHARGEZ L’APP DÈS AUJOURD’HUI

    1. Téléchargez l’app à partir de votre app store habituel.
    2. Installez l’app et donnez votre autorisation pour utiliser Bluetooth.
    3. Vérifiez régulièrement vos notifications pour vous protéger et protéger les autres.

                                                             Pour télécharger l'appli Coronalert c'est ici : 

                                                                            https://coronalert.be/fr/

     

    Info (lien) utile : Test-Achats                                                                                                                          Application Coronalert : un bon score en termes de respect de la vie privée et de convivialité

    https://www.test-achats.be/famille-prive/coronavirus/news/app-coronalert?fbclid=IwAR3xsLJg_-i1YEXscrqvt4EZwwc_sr23QUR0nlruNowto-FVGhMFFk59_AM


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  • Cohabitation difficile avec les cyclistes: la promenade verte bientôt réservée aux piétons?

    À Bruxelles, la promenade verte pourrait bientôt être réservée aux piétons durant les weekend et jours fériés. C'est le souhait des bourgmestres d'Auderghem et des 2 Woluwé, Woluwé-Saint-Pierre et Woluwé-Saint-Lambert. L'ancienne ligne de chemin de fer est très fréquentée par les cyclistes depuis le confinement et la cohabitation avec les piétons est parfois dangereuse.

    Les 3 bourgmestres demandent depuis des mois à la région bruxelloise de faire les aménagements nécessaires pour sécuriser cette promenade et songent désormais à prendre des mesures plus radicales :  "A partir du moment où rien ne bouge en ce qui concerne la sécurisation de la promenade il faudra prendre la mesure ultime", lance le bourgmestre de Woluwé-Saint-Pierre, Benoit Cerexhe, légèrement déçu. "D’ici là nous restons ouverts au dialogue avec la région mais on doit bien constater que cela fait plusieurs mois que malgré les promesses rien n’a été accompli ", conclu-t-il.

     

    Source : https://www.rtl.be/info/regions/bruxelles/a-bruxelles-la-promenade-verte-bientot-reservee-aux-pietons-les-we-et-jours-feries--1249237.aspx


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  • A partir de ce jeudi 1e octobre, le port du masque ne sera plus obligatoire sur l’ensemble du territoire de la Région bruxelloise. Sauf dans les endroits où la distanciation sociale ne peut être assurée. Et c’est aux communes de déterminer les zones à risque.

    Port du masque et mesures COVID : les communes (presque) toutes sur la même longueur d’ondes

    Samedi dernier, les bourgmestres ont accordé leurs violons. Globalement, le masque sera obligatoire dans les rues commerciales ou très fréquentées, sur les marchés ainsi qu’aux abords des établissements scolaires. Chaque commune va mettre en place une signalétique claire. Attention, il faudra toujours avoir un masque sur soi.

    Mesures plus précises dans certaines communes

    C’est à Saint-Josse que les mesures sont les plus strictes avec la fermeture des piscines, des bibliothèques communales, des maisons de jeunes, des salles de sport et du Musée Charlier. La durée de la quarantaine est également maintenue à 14 jours. Le port du masque sera obligatoire dès jeudi dans les quartiers très fréquentés et sur les marchés, brocantes et braderies.

    Même dispositif à Anderlecht, port du masque obligatoire dans les quartiers très fréquentés, déjà définis cet été. Par ailleurs, la commune prolonge l’interdiction de boire de l’alcool en journée et la nuit jusqu’au 31 décembre.

    Schaerbeek aussi le port du masque sera rendu obligatoire dans les rues commerçantes et très fréquentées, sur les marchés et dans les files d’attente devant les commerces, aux abords des lieux de culte et de l’hôtel communal.

    Cohérence au sein d’une même zone de police

    Réunies au sein de la zone de police Montgomery, les communes d’Etterbeek, de Woluwe Saint-Pierre et de Woluwe-Saint Lambert restent, comme au printemps dernier, sur la même longueur d’ondes : le port du masque sera obligatoire dans les zones commerçantes mais aussi autour des établissements scolaires.

    Cette décision, concernant les écoles, a été prises conjointement par les 19 bourgmestres samedi dernier.

    Des quartiers et des lieux bien ciblés

    Ce mardi, la Ville de Bruxelles a communiqué le plan des rues commerçantes où le port du masque sera obligatoire dès jeudi 7/7 et 24/24 (cf plan).

    ► Ville de Bruxelles : le port du masque reste obligatoire dans les rues commerçantes (carte)

    Jette, Evere, Forest, Koekelberg, Ganshoren, Ixelles ciblent les abords d’écoles et les quartiers commerciaux ou Horeca.

    Molenbeek-Saint-Jean, ce sera la Chaussée de Gand, Chaussée de Ninove et rue de Ribaucourt. Auderghem ajoute les abords des crèches et les plaines de jeux. Le masque y sera également obligatoire lors de tout regroupement de personnes où la distanciation sociale n’est pas possible.

    Uccle se réjouit de cibler les quartier les plus fréquentés et de permettre de tomber le masque dès que possible. Même constat à Berchem-Sainte-Agathe où l’on ajoute les abords des 2 centres sportifs et certaines plaines de jeux mais pas les parcs.

    Pas encore de précisions concernant Saint-Gilles, ni Watermael-Boitsfort où les décisions seront prises ce mercredi.

    Valérie Leclercq – Photo : Belga

    https://bx1.be/news/port-du-masque-et-mesures-covid-les-communes-presque-toutes-sur-la-meme-longueur-dondes/

     

    Lien utile : 

    https://fr.woluwe1200.be/2020/10/02/ordonnance-de-police-du-bourgmestre.html?fbclid=IwAR2eU5z1gFJ-dfsv1p9uX5rs8avEO8wdnK0HKRJPWSBflSYq3OsM5gpQC-0

     

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  • La crèche Sarah Goldberg et la crèche Princesse Paola à Woluwe-Saint-Lambert viennent de fermer leurs portes à la suite d'un cas positif au Covid-19 détecté chez un membre du personnel. "Malheureusement, nous ne pouvons pas isoler une section car la personne a été en contact avec l'ensemble des puéricultrices et des enfants des deux crèches. Nous devons donc fermer et tout le monde doit se mettre en quarantaine", a expliqué lundi matin Jacqueline Destrée-Laurent, échevine en charge entre autres des crèches communales à Woluwe-Saint-Lambert.

    "Nous n'avons pas le choix. Nous avons suivi les recommandations du Conseil National de Sécurité et de notre référent santé à l'Office de la Naissance et de l'Enfance (ONE)", a déclaré l'échevine. "Je sais que cela peut être très compliqué pour certains parents de respecter maintenant la quarantaine mais j'espère qu'ils le feront".

    Les enfants en quarantaine

    La crèche Sarah Goldberg est située avenue de Toutes les Couleurs et accueille jusqu'à 60 enfants de moins de 36 mois. La crèche Princesse Paola quant à elle est située chaussée de Roodebeek et a une capacité maximale de 36 enfants de la même tranche d'âge. Tous les enfants qui y sont inscrits doivent maintenant respecter une quarantaine de deux semaines avant d'être à nouveau accueillis, tout comme le personnel.

    Cela suppose donc que les parents doivent également trouver des solutions pour pouvoir rester à la maison avec leur enfant.

    Source et photo : https://www.rtbf.be/info/regions/bruxelles/detail_coronavirus-deux-creches-fermees-a-woluwe-saint-lambert-apres-un-cas-de-covid-19-parmi-le-personnel?id=10583657


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  • L'union fait la force... surtout en période Covid


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  • Les signes du coup de chaleur chez le chien


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  • Survol de WSL : La piste 25 R squattée par les cyclistes... écolos

     

    Source : Médiation Aéroport Bruxelles

    https://www.facebook.com/airportmediation.brussels?epa=SEARCH_BOX


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    Seules cinq des dix-neuf communes de Bruxelles n’ont pas encore atteint le niveau d’alerte. Anderlecht, Auderghem et Woluwe-Saint-Lambert sont à peine en dessous de ce niveau d’alerte. Le cabinet du ministre-président bruxellois met en garde: “Il n’y a pas de véritables clusters, mais le virus est partout”.

    Woluwe-Saint-Lambert toujours en-dessous du niveau d'alerte Covid

     
     

     


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    Re survol dangereux de notre commune

     BIS REPETITA en plus grave !
    Hier soir, dans un bruit furieux et angoissant, le même avion que celui de la veille à la même heure 22.20 (compagnie Kallita Air - voir article précédent http://woluwe-saint-lambert.eklablog.com/les-cliniques-saint-luc-survolees-dangereusement-par-trois-gros-porteu-a197294952) a quitté BXL pour Cincinnati.
    L'avion a traversé hors procédure TOUT Bruxelles (même en passant au dessus du domaine royal - interdiction depuis 1954). Aux alentours de Londres, il fait demi-tour et repart sur Leipzig. Il aurait eu un problème technique au décollage.

    Les vacances ne sont pas un prétexte pour relâcher plus encore le déjà trop grand laxisme des autorités politiques et commerciales de l'aéroport de Zaventem en matière de sécurité.

    Les manœuvres dangereuses, ça suffit. Mais qui protège notre ciel ?

    Nous demandons que :
     François Bellot prenne le dossier en main et apporte la transparence sur cet incident.
     Alain Maron perçoive l'argent de ces très probables 2 infractions aux normes de bruit bruxelloises.
     Que les bourgmestres relayent à Bellot les préoccupations de leurs citoyens.

    Source : Charles Six

    Re survol dangereux de notre commune... mais pas que

     

     


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  • Selon le médiateur aérien, le principe de précaution n'a pas été respecté lundi lors du survol des cliniques Saint-Luc par des décollages depuis la piste 19 de Bruxelles-National.

    Les Cliniques Saint-Luc survolées dangereusement par trois gros porteurs

    Ce lundi à 14h15, 19h54 et 22h20, trois gros porteurs ont survolé dangereusement les cliniques universitaires Saint-Luc. "Les avions sont passés à 200 mètres en latéral et 300 mètres de hauteur par rapport aux toitures", s'étonne le conseiller communal de Woluwe-Saint-Lambert Charles Six (Défi).

    Une situation qui a attiré l'attention du service de médiation de l'aéroport de Bruxelles-National (https://www.facebook.com/airportmediation.brussels). Sur base de diverses réclamations, celui-ci a adressé une lettre au ministre fédéral des Transports François Bellot dans laquelle il "tient tout particulièrement à attirer l'attention sur une probable diminution des marges de sécurité telle que constatée lors du survol des cliniques Saint-Luc par des décollages depuis la piste 19 de Bruxelles-National, par une altitude relativement peu élevée de survol et à proximité de ces bâtiments hospitaliers".

    Les Cliniques Saint-Luc survolées dangereusement par trois gros porteurs

    "Nous estimons que ce survol par des avions, surtout par des avions gros porteurs d'un poids approchant les 400 tonnes au décollage, ne nous paraît pas du tout indiqué dans les circonstances actuelles", poursuit la lettre, précisant que l'usage de la piste 25L aurait été plus indiqué.

    "Cette distance est fort proche pour des avions. Je ne sais pas qui joue de la sorte avec la sécurité. Les cliniques Saint-Luc pourraient obtenir plus de considération de la part des autorités de l'aéroport sur le plan de la sécurité, période Covid ou non", conclut Charles Six.

    Source : https://www.dhnet.be/regions/bruxelles/bruxelles-mobilite/les-cliniques-saint-luc-survolees-dangereusement-par-trois-gros-porteurs-5f203cc17b50a677fb498c3e?fbclid=IwAR3md7Zegk7DirDOht1V41VKWKf2ydMAw_MR8knUiGK4yOKgTl6RpbAPvsY

     

     


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  • Certains ventilateurs puissants, dans des lieux confinés sans aération vers l'extérieur, sont susceptibles de transmettre la Covid par voie aérienne, et ce en particulier dans les salles de sport, mais pas que. La crainte d’une “contamination par l’aérosolisation de particules virales” n’est pas à exclure en raison de la présence de personnes contaminées mais asymptomatiques et ce dans un rayon de... 10 mètres! 

    “En créant un mouvement d’air important, le ventilateur va projeter les gouttelettes respiratoires émises par les personnes à distance dans la pièce et rendre inopérante la distance de sécurité entre les personnes”, juge le Haut conseil de la santé publique en France.

    En conséquence, l’utilisation de ventilateurs “est contre-indiquée dès lors que plusieurs personnes sont présentes dans cet espace (notamment salle de classe, établissements pour personnes âgées…), même porteuses de masques”. En revanche, pour une personne seule, l’usage du ventilateur est préconisé à condition qu’il soit stoppé “avant qu’une autre personne n’entre dans la pièce”.

    « Un ventilateur dans une pièce fermée, non aérée, si vous avez une personne qui est malade, il y a un risque de contamination », précise à Franceinfo Gérald Kierzek, médecin urgentiste à l’Hôtel-Dieu à Paris. Pour la Société française de gériatrie et de gérontologie, même si les personnes portent un masque, il y a un risque tant que le flux d’air est dirigé vers les individus présents.

    Dans notre commune, une salle de sport est particulièrement visée par ce risque de "cluster" local.

    Risque de "cluster" local dans une de nos salle de sport

    La commune a déjà, à plusieurs reprises, été informée de ce risque potentiel dans ladite salle.

    En cette période de recrudescence du Covid, la commune, comme me l'a assuré notre Bourgmestre Olivier Magain, veillera à ce que le service communal de la Prévention rappelle aux gestionnaires de ce type de salle d’entrainement sportif, les obligations résultant des règles en vigueur. 

    Risque de "cluster" local dans une de nos salles de sport

    Il est demandé aux personnes fréquentant ces salles de sport d'être particulièrement vigilantes et de demander au responsable ou à l'accueil d'éteindre ces ventilateurs tant que le risque de covid sera présent car il en va de la santé de chacun.

    Je suis conscient que de faire du sport dans une salle surchauffée n'est pas d'un confort absolu mais, en cette période difficile où la covid guette chacun d'entre nous, l'option "cluster" n'est certainement pas préférable à l'option "transpiration et inconfort" d'autant que si un "foyer d'infection" venait à être signalé dans ce genre de salle, celle-ci serait automatiquement fermée ou mise en quarantaine.

    Risque de "cluster" local dans une de nos salle de sport

     

    "Cluster"  ou "foyer" en français : Il s’agit en fait d’un endroit où les conditions sont favorables pour qu’un malade transmette l’infection autour de lui. Il s’agit de lieux essentiellement fermés, confinés.

     

    Risque de "cluster" local dans une de nos salles de sport

     

    Liens utiles :

    https://soirmag.lesoir.be/309453/article/2020-06-25/quand-est-ce-quun-ventilateur-devient-lami-du-coronavirus

    https://www.bfmtv.com/sante/chaleur-et-covid-19-les-consignes-a-respecter-pour-l-utilisation-des-climatiseurs-et-ventilateurs_AN-202006250166.html

    https://www.paca.ars.sante.fr/covid-19-recommandations-pour-la-ventilation-de-lair-interieur

    https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/covid-19-aeration-ventilation-climatisation.pdf

     

     


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    Les Fêtes romanes annulées au mois de septembre

    La dernière fois que nous avions recontré Olivier Maingain, le bourgmestrede Woluwe-Saint-Lambert, il s'était montré résolument volontariste : oui, les traditionnelles "Fêtes romanes", organisées aux environs du 27 septembre (fête de la Fédération Wallonie-Bruxelles), auraient bien lieu. 

    C'était hélas compter sans les impératifs de sécurité liés au Coronavirus. ''Impossible de faire respecter les  normes sanitaires. Le test donnait un résultat rouge", nous a confirmé le bourgmestre de Woluwe-Saint-Lambert. Le cocktail de spectacles de cirque et des arts de la rue ainsi que le marché des artisans sont donc annulés. La mort dans l'âme, comme on l'imagine.

    Le bourgmestre précise que les artistes invités seront rémunérés comme s'ils étaient venus accomplir leur prestation, une manière pour la commune de soutenir le secteur de la culture. 

    Source : https://www.rtbf.be/info/regions/bruxelles/detail_les-fetes-romanes-de-woluwe-saint-lambert-annulees-au-mois-de-septembre?id=10545657

     

     

     


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  • Il meurt du covid à Woluwe. Taxe funéraire de 213 euros

    C’est une triste mésaventure qui est arrivée à Philippe (prénom d’emprunt). Son père, domicilié à Braine L’Alleud, est hospitalisé aux cliniques universitaires Saint-Luc, à Woluwé Saint-Lambert. Mais, après six semaines dans le coma, il meurt, une des victimes du COVID. Quand Philippe reçoit le décompte des différents frais entraînés par les funérailles, une ligne attire son attention : " taxe funéraire : 213 euros ".

    La taxe funéraire n’existe que dans les communes de la Région bruxelloise. Et encore, pas dans toutes !

    Cette taxe doit être payée afin d’obtenir l’acte de décès, nécessaire au départ du corps vers le cimetière ou le crématorium. D’ailleurs, certaines communes ne l’appellent pas " taxe funéraire " mais " taxe départ de corps ".

    Woluwe contre Woluwe

    C’est une survivance d’une procédure administrative qui a disparu à peu près partout, explique un professionnel du secteur : jusqu’à il y a quelques années, lors d’un décès, un fonctionnaire communal, l’ordonnateur, devait venir apposer un scellé en cire sur le cercueil. Et ce service donnait lieu à la perception d’une taxe.

    Aujourd’hui, il est extrêmement rare qu’un ordonnateur se déplace encore. Mais la taxe est restée. Et, avec le COVID, plus personne ne se déplace…

    Il s’agit d’une taxe communale. C’est-à-dire que, au nom de l’autonomie communale, chaque commune peut librement déterminer le montant qu’elle veut faire payer. Voire supprimer cette taxe. C’est ce qu’a décidé, par exemple, Woluwé Saint-Pierre. Mais Woluwe-Saint-Lambert, juste à côté, applique la politique inverse et impose un montant parmi les plus élevés : certes, les proches des personnes domiciliées dans la commune ne payent que 83 euros. Mais malheur à vous si vous êtes un " étranger " à cette commune. Dans ce cas, vos héritiers devront débourser 213 euros.

    Pourquoi une telle différence entre deux communes si proches ? Peut-être parce que, sur le territoire de Woluwé Saint-Pierre, il n’y a pas de grand hôpital. Tandis que, à Woluwe-Saint-Lambert, on trouve la plus grande institution hospitalière de la Région, les cliniques universitaires Saint-Luc. Des cliniques d’une importance nationale, fréquentées donc par un grand nombre de patients qui ne sont pas domiciliés dans la commune.

    Source et photo : 

    https://www.rtbf.be/info/societe/onpdp/argent/detail_taxe-sur-la-mort-mourir-a-bruxelles-un-luxe?id=10515239


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